Pour expliquer ce recours au forfait et non au réel, Peggy Duclos, pour la Mutuelle Médicis, résume parfaitement la situation : « Le fonctionnement au réel impliquerait des coûts administratifs en plus. Alors que le simple changement du type de véhicule nous a par exemple permis de réduire les AEN. »
Pour Édouard Rance, d’ERCG, l’explication du peu d’intérêt pour un passage aux AEN en mode réel peut aussi s’expliquer autrement. Selon lui, « l’application de ce système ne peut être avantageuse que sur de faibles kilométrages ». Sans pour autant négliger « qu’il reste beaucoup plus facile d’appliquer à tous un forfait identique. »
Même constat...
Pour expliquer ce recours au forfait et non au réel, Peggy Duclos, pour la Mutuelle Médicis, résume parfaitement la situation : « Le fonctionnement au réel impliquerait des coûts administratifs en plus. Alors que le simple changement du type de véhicule nous a par exemple permis de réduire les AEN. »
Pour Édouard Rance, d’ERCG, l’explication du peu d’intérêt pour un passage aux AEN en mode réel peut aussi s’expliquer autrement. Selon lui, « l’application de ce système ne peut être avantageuse que sur de faibles kilométrages ». Sans pour autant négliger « qu’il reste beaucoup plus facile d’appliquer à tous un forfait identique. »
Même constat chez Primagaz France où « le forfait demeure la norme », selon Jérôme Menin. Sans oublier le PMU qui applique le taux le plus avantageux pour le salarié et l’entreprise dans le respect des forfaits légaux.