Pour les collaborateurs utilisant les transports publics de la région de Toulouse, Airbus rembourse l’abonnement à 50 %, comme le stipule la loi. Autre disposition pour inciter à recourir aux transports en commun : un site intranet, auquel tous les collaborateurs peuvent accéder, propose une cartographie complète du réseau des transports en commun de Toulouse, des lignes de la SNCF et de la région, ainsi que des pistes cyclables. Il fournit également, en temps réel, les informations du trafic sur la rocade. « De cette manière, le collaborateur peut décider de reporter son arrivée ou son départ si les conditions de trafic ne sont pas...
Pour les collaborateurs utilisant les transports publics de la région de Toulouse, Airbus rembourse l’abonnement à 50 %, comme le stipule la loi. Autre disposition pour inciter à recourir aux transports en commun : un site intranet, auquel tous les collaborateurs peuvent accéder, propose une cartographie complète du réseau des transports en commun de Toulouse, des lignes de la SNCF et de la région, ainsi que des pistes cyclables. Il fournit également, en temps réel, les informations du trafic sur la rocade. « De cette manière, le collaborateur peut décider de reporter son arrivée ou son départ si les conditions de trafic ne sont pas favorables », explique Rémy Agut.
L’ambition d’Airbus dans les prochaines années : réduire une proportion d’auto-solistes qui atteint encore aujourd’hui 76 % parmi les collaborateurs. « Mais amener un conducteur à délaisser son véhicule au profit des transports en commun constitue un véritable défi », note le responsable de parc. Pour limiter le nombre d’auto-solistes, l’avionneur mène actuellement des négociations afin que ses quatre sites soient mieux desservis par les lignes de bus, de métro et de tram des transports en commun toulousains. « Malgré les efforts du réseau de transport public, les sites d’Airbus ne sont pas assez directement desservis. Nous voulons combler cette rupture et proposer une solution pour ces derniers kilomètres avec la mise en place d’un système de navettes », conclut Rémy Agut.