Alain da Silva, Meccoli : « Le crédit-bail est lié à notre activité »
Au sein de Meccoli, le fonctionnement en crédit-bail pour une majorité des 450 véhicules correspond à l’activité de l’entreprise qui réalise des travaux sur les chantiers ferroviaires.
Alain da Silva est gestionnaire de flotte, adjoint au directeur général chez Meccoli.
« Nous avons 450 véhicules en parc, principalement des utilitaires. 70 VP 5 places sont en LLD et tous les autres sont en crédit-bail. Ce choix est dû à notre activité : les véhicules roulent de 50 à 60 000 km par an, et nous accédons aux lieux d’intervention, les voies ferroviaires, par des chemins et souvent de nuit. Nous avons eu des utilitaires en LLD par le passé mais les dommages entraînaient des frais de restitution trop élevés.
Nous possédons aussi un atelier de carrosserie en interne. Cela nous permet de ne pas dépendre des garages pour les réparations...
Alain da Silva est gestionnaire de flotte, adjoint au directeur général chez Meccoli.
« Nous avons 450 véhicules en parc, principalement des utilitaires. 70 VP 5 places sont en LLD et tous les autres sont en crédit-bail. Ce choix est dû à notre activité : les véhicules roulent de 50 à 60 000 km par an, et nous accédons aux lieux d’intervention, les voies ferroviaires, par des chemins et souvent de nuit. Nous avons eu des utilitaires en LLD par le passé mais les dommages entraînaient des frais de restitution trop élevés.
Nous possédons aussi un atelier de carrosserie en interne. Cela nous permet de ne pas dépendre des garages pour les réparations. Nous sommes capables de réaliser tout type de réparations : pneus, carrosserie, etc., jusqu’à changer le moteur. Nous pouvons aussi réaliser les révisions et intervenir sur les véhicules en LLD. De même, nous réparons les véhicules pour en disposer dès que nous en avons besoin : c’est important pour notre activité qui nécessite d’intervenir dans les temps, 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24.
Pour la revente, nous réalisons un bilan des véhicules quand ils atteignent 200 000 ou 250 000 km, afin d’évaluer les frais de remise en état. Nous effectuons les réparations si nécessaire et regroupons les modèles par lots avant la revente, avec des véhicules en tout état. Ces ventes nécessitent une certaine gestion pour traiter les cartes grises notamment, mais elles s’intègrent bien dans l’économie locale qu’elles contribuent à faire tourner, pour les revendeurs de pièces par exemple.
Nous sommes en train de reconsidérer la car policy. Nous sommes déjà passés d’onze marques à trois pour nos fournisseurs, avec à la clé des économies d’échelle. Nous allons aussi recruter un responsable expérimenté pour suivre la flotte et nous équiper d’un outil de gestion du parc. »
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