Alain Guinot, LCL : « Il revient au prestataire d’obtenir les meilleures cotations »
Alain Guinot, LCL : « Il revient au prestataire d’obtenir les meilleures cotations »
Au sein du LCL, le recours à un fleeteur pour gérer la flotte a permis de générer des gains sur les différents postes de dépenses liés aux 2 000 véhicules du groupe bancaire.
Alain Guinot, pilote fournisseurs en charge de l’économat, des transports et déplacements et du parc automobile, LCL.
Pour le LCL, la car policy est élaborée par la maison-mère, le Crédit Agricole SA, et elle concerne plusieurs entités du groupe avec en outre un accord cadre. « Nous avons cependant un peu modifié la politique d’achat », note Alain Guinot. Sur le conseil de son fleeteur Fatec, la banque a ainsi sorti l’entretien de ses contrats de location depuis l’an dernier : « Au lieu d’un forfait nous payons désormais ces frais en direct », explique ce responsable.
Toujours dans un souci d’économie, le LCL a choisi de revoir la durée de...
Alain Guinot, pilote fournisseurs en charge de l’économat, des transports et déplacements et du parc automobile, LCL.
Pour le LCL, la car policy est élaborée par la maison-mère, le Crédit Agricole SA, et elle concerne plusieurs entités du groupe avec en outre un accord cadre. « Nous avons cependant un peu modifié la politique d’achat », note Alain Guinot. Sur le conseil de son fleeteur Fatec, la banque a ainsi sorti l’entretien de ses contrats de location depuis l’an dernier : « Au lieu d’un forfait nous payons désormais ces frais en direct », explique ce responsable.
Toujours dans un souci d’économie, le LCL a choisi de revoir la durée de ses contrats. « Nous l’avons réduite à 36 mois. Cela signifie moins d’entretien pour un véhicule renouvelé plus rapidement. Et nous bénéficions de modèles neufs et aux normes, équipés des derniers dispositifs de sécurité ». Pareillement, le fleeteur Fatec pèse pour obtenir les meilleures propositions des loueurs pour les modèles sélectionnés : « Les directions envoient à Fatec les bons de commande des véhicules et il revient à ce prestataire d’obtenir les meilleures cotations chez les loueurs », décrit Alain Guinot.
Dernier poste de dépense optimisé : celui des pneus. Là encore, le paiement en direct a été retenu plutôt que la solution du forfait mise en avant par le loueur. « Sur ce poste, le fleeteur nous fait profiter de ses contrats avec les enseignes spécialisées. Ces services refacturés à l’euro-l’euro sont plus avantageux », constate Alain Guinot.
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