« Nous avons réfléchi à la mise en place d’un forfait mobilités durables avec les partenaires sociaux, notamment pour financer la mobilité des collaborateurs qui viennent travailler en vélo, relate Christelle Malergue, responsable RSE pour Atos France. Mais ce dispositif n’est pas encore totalement validé. Là encore, nous préparons les prochaines étapes » Ce qui passera par l’élaboration d’un grand questionnaire national sur la mobilité pour l’ensemble des collaborateurs des sites du groupe Atos. Ce questionnaire, qui comprendra des questions spécifiques selon chaque site, vise deux objectifs : évaluer l’empreinte carbone de la mobilité...
« Nous avons réfléchi à la mise en place d’un forfait mobilités durables avec les partenaires sociaux, notamment pour financer la mobilité des collaborateurs qui viennent travailler en vélo, relate Christelle Malergue, responsable RSE pour Atos France. Mais ce dispositif n’est pas encore totalement validé. Là encore, nous préparons les prochaines étapes » Ce qui passera par l’élaboration d’un grand questionnaire national sur la mobilité pour l’ensemble des collaborateurs des sites du groupe Atos. Ce questionnaire, qui comprendra des questions spécifiques selon chaque site, vise deux objectifs : évaluer l’empreinte carbone de la mobilité individuelle et identifier les leviers nécessaires aux collaborateurs pour accompagner le développement des mobilités durables.
Pour la mobilité de ses collaborateurs, Atos dispose aussi d’une application de covoiturage intégrée dans l’ensemble de ses sites intra-entreprise. Certains sites, Issac (24) et Grenoble, font appel en complément à une application de covoiturage proposée par les métropoles. « Nous lançons donc différentes initiatives pour aller vers une mobilité plus durable. Celles-ci vont de l’évaluation des flottes de vélos électriques en location, à la revue de nos systèmes actuels de covoiturage, en passant par des discussions pour augmenter le nombre de jours de télétravail sur la base du volontariat. Enfin, nous prévoyons la création d’une plate-forme pour évaluer l’empreinte carbone d’un trajet professionnel en fonction du mode de transport choisi (train, métro, voiture, vélo). Le collaborateur pourra y réserver son trajet en toute connaissance de cause », anticipe Christelle Malergue.