
Cette dernière ne se décline qu’en finition Compétition à 74 300 euros. Pour la Business Executive à 68 000 euros, il faudra se limiter à la 50 TFSIe. Dans les deux cas, les émissions sont très basses à 37 g pour notre version encore équipée de la batterie de 14,1 kWh contre 17,9 kWh depuis avril. Cette différence permet surtout de s’affranchir d’une autonomie de 50 km en cycle urbain ; lors de nos essais, nous n’avons jamais dépassé les 40 km de rayon d’action en électrique, même en caressant gentiment la pédale d’accélérateur.
Une puissance cumulée de 252 ch
En revanche, la puissance est assez phénoménale avec un cumul de 252 ch tirés du 2.0 TFSI nerveux et discret, plus les 143 ch du moteur électrique qui apporte aussi son fort couple de 350 Nm dès le démarrage, pour un total de 500 Nm. De quoi largement emmener les 2 t de masse à vide de cette grande et luxueuse berline dont l’encombrement de 4,94 m de longueur ne se fait pas sentir. Le châssis, d’une rigueur extrême, sait ménager le confort dynamique grâce à la suspension pneumatique, avec un agrément de conduite très haut de gamme. Une vraie « pullman » pour 7,2 l/100 km de consommation, la voiture de chef d’entreprise idéale et discrète.
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