Reste à résoudre le problème du choix de la motorisation. Profiter des bienfaits du système Quattro, qui optimise le comportement et sécurise la progression en toutes saisons, impose le recours minimum au V6 3.0 TDI de 204 ch (149 g). Une configuration suffisante, mais pour quelques grammes de CO2 supplémentaires (156 g) et à partir de 52 990 euros, la version 245 ch, associée à une boîte automatique à double embrayage S Tronic, apporte plus de vigueur et s’accorde encore mieux à ce grand vaisseau. L’agrément de conduite fait partie de la panoplie, tout comme les performances.
Au final, peu de choses à lui reprocher sinon un confort « à l’allemande » plus ferme que la concurrence. Présent pour améliorer l’ordinaire, l’épais catalogue des options est aussi à redouter dans la mesure où il fait vite grimper la facture.
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