
Suivant l’exemple de Mercedes et de BMW, Audi se lance à son tour dans le registre des SUV coupés avec le Q8. Un modèle haut de gamme, fabriqué dans l’usine Audi de Bratislava en Slovaquie et proposé à partir 76 300 euros TTC (prix allemand).
Ce nouveau venu côtoie le grand Q7 mais s’en distingue par un style plus sportif, marqué par un pavillon plongeant et des portes sans encadrement. Il introduit également une nouvelle calandre octogonale que l’on retrouvera sur tous les modèles de la gamme Q. Tandis qu’à l’arrière, on reconnaît le Q8 à son large bandeau noir intégrant les feux, façon A7 Sportback (voir l’essai).
Audi Q8 : trois sièges individuels à l’arrière
Long de presque 5 m, ce gros SUV affiche une largeur de 1,99 m, une hauteur de 1,70 m et une garde au sol de plus de 25 cm, ce qui lui permet de s’aventurer hors de l’asphalte. Toutes les versions s’équiperont d’ailleurs de la transmission intégrale Quattro. À bord, ce Q8 devrait offrir un espace généreux pour cinq occupants avec trois sièges individuels à l’arrière, coulissants en option. Le volume de coffre atteint quant à lui 605 l (jusqu’à 1 755 l sièges arrière rabattus).
L’Audi Q8 en mild hybrid
En Europe, le Q8 sera d’abord proposé en diesel avec un 3.0 V6 TDI de 286 ch (600 Nm de couple), associé à un système mild hybrid de 48 volts intégrant une batterie lithium-ion. Cette technologie a le mérite de faire baisser la consommation de 0,7 l/100 km en moyenne. Soit entre 6,6 et 6,8 l/100 km selon Audi, pour des émissions de CO2 comprises entre 172 et 179 g/km. Pas de quoi, hélas, éviter le malus.