Lancé en avril, Autobleue propose une centaine de voitures – des iOn et des Berlingo électriques auxquels viendront s’ajouter des Mia – et 26 stations à Nice et dans les villes voisines. Il suffit de réserver par téléphone ou en ligne, de payer 30 euros d’adhésion, puis 8 euros par heure ou 50 euros la journée. La montée en puissance sera rapide : fin 2012, la communauté urbaine prévoit 210 véhicules et 70 stations. « Une voiture partagée remplace entre quatre et huit véhicules personnels », estime-t-on chez Nice Côte d’Azur. Qui a calculé que 30 % des émissions de gaz à effet de serre sur son territoire sont le fait des voitures. Avec l’aide...
Lancé en avril, Autobleue propose une centaine de voitures – des iOn et des Berlingo électriques auxquels viendront s’ajouter des Mia – et 26 stations à Nice et dans les villes voisines. Il suffit de réserver par téléphone ou en ligne, de payer 30 euros d’adhésion, puis 8 euros par heure ou 50 euros la journée. La montée en puissance sera rapide : fin 2012, la communauté urbaine prévoit 210 véhicules et 70 stations. « Une voiture partagée remplace entre quatre et huit véhicules personnels », estime-t-on chez Nice Côte d’Azur. Qui a calculé que 30 % des émissions de gaz à effet de serre sur son territoire sont le fait des voitures. Avec l’aide d’une forte incitation, la communauté urbaine mise aussi sur le développement d’une flotte électrique individuelle : chaque station dispose de cinq emplacements dont deux gratuits pour les propriétaires de voitures électriques. Côté consommation, Autobleue représente « la consommation de 80 ménages niçois ou un tiers de l’éclairage public de la seule promenade des Anglais », précise Nice Côte d’Azur. Qui verse une subvention d’exploitation au délégataire, chargé de l’exploitation de l’auto-partage (une société commune Veolia-EDF), laquelle baissera dans le temps en fonction des recettes commerciales.