L’organisme a interrogé 158 gestionnaires de flotte au sein d’entreprises et de collectivités abonnées au service d’autopartage Citiz, dont 62 % travaillent dans des entités de moins de dix salariés. Bilan : l’autopartage serait principalement motivé par la volonté de faire des économies, mais aussi de contribuer à la politique environnementale.
En outre, l’autopartage serait utilisé pour éviter d’agrandir la flotte plutôt que pour la diminuer. « Le nombre de véhicules à disposition n’a reculé que de 3 % suite à l’adoption de l’autopartage, mais 54 % des organismes qui n’ont pas réduit la taille de leur flotte déclarent que l’autopartage a...
L’organisme a interrogé 158 gestionnaires de flotte au sein d’entreprises et de collectivités abonnées au service d’autopartage Citiz, dont 62 % travaillent dans des entités de moins de dix salariés. Bilan : l’autopartage serait principalement motivé par la volonté de faire des économies, mais aussi de contribuer à la politique environnementale.
En outre, l’autopartage serait utilisé pour éviter d’agrandir la flotte plutôt que pour la diminuer. « Le nombre de véhicules à disposition n’a reculé que de 3 % suite à l’adoption de l’autopartage, mais 54 % des organismes qui n’ont pas réduit la taille de leur flotte déclarent que l’autopartage a évité l’achat ou la location de véhicules supplémentaires », précise l’Ademe.
L’étude révèle également que l’abonnement à l’autopartage n’a encore que peu d’effets sur les habitudes de déplacement des salariés. Les gestionnaires estiment toutefois que l’offre pourrait être améliorée en développant l’autopartage en trace directe plutôt qu’en boucle, et en augmentant le nombre de véhicules proposés.