Autopartage et covid-19 : quelles conséquences ?

Pour l’autopartage, face à la covid-19, «Autopartage et covid-19 : quelles conséquences ?des précautions ont été prises pour s’assurer que les véhicules étaient dans un bon état sanitaire. Grâce aux remontées d’informations, nous avons pu recharger les batteries quand le besoin s’en faisait sentir », relate Alexandre Fournier, directeur marketing et communication de Mobility Tech Green. Pour la reprise, ce prestataire a mandaté ses clients pour sensibiliser les utilisateurs.

Un protocole d’usage spécifique

« Nous avons établi un protocole d’usage pour que les collaborateurs puissent accéder au service dans de bonnes conditions d’hygiène. Parallèlement, nous travaillons à une réponse sur le long terme. Comme le covid-19 ne va pas s’arrêter en septembre, nous cherchons à développer un diffuseur capable de tuer le virus. Enfin, nous avons mis des véhicules en autopartage à la disposition du personnel soignant », décrit Alexandre Fournier. Dont l’entreprise a vu son activité reculer. Plus particulièrement, les réservations des populations de personnel technique ont chuté.

Une reprise depuis le 11 mai

« Depuis le 11 mai, nous observons une reprise importante. Les utilisateurs préfèrent les véhicules en autopartage aux transports en commun. Et nombre d’ETI nous contactent pour bénéficier d’une application en lieu et place des boîtes à clefs numériques jugées dépassées sur le plan pratique », conclut-il.

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