Isabelle Boinot est responsable du pôle pilotage FM au sein du Crédit Agricole Immobilier Facilities.
« Suite à une volonté de Crédit Agricole SA d’accompagner la mobilité des collaborateurs, nous avons mis à leur disposition douze véhicules partagés en passant par glide.io : des Auris hybrides et des véhicules électriques, Nissan Leaf et BWM i3, répartis entre les campus de Saint-Quentin-en-Yvelines (78) et Montrouge (92) du Crédit Agricole. L’accord avec le prestataire concerne un package comprenant les véhicules en LLD et les services associés : hotline, entretien, assurance, nettoyage et réparations. L’objectif était d’externaliser...
Isabelle Boinot est responsable du pôle pilotage FM au sein du Crédit Agricole Immobilier Facilities.
« Suite à une volonté de Crédit Agricole SA d’accompagner la mobilité des collaborateurs, nous avons mis à leur disposition douze véhicules partagés en passant par glide.io : des Auris hybrides et des véhicules électriques, Nissan Leaf et BWM i3, répartis entre les campus de Saint-Quentin-en-Yvelines (78) et Montrouge (92) du Crédit Agricole. L’accord avec le prestataire concerne un package comprenant les véhicules en LLD et les services associés : hotline, entretien, assurance, nettoyage et réparations. L’objectif était d’externaliser ces services très chronophages.
À ce parc s’ajoutent trois véhicules du parc de Crédit Agricole Immobilier, équipés de la même technologie. Cette nouvelle flotte partagée a remplacé une flotte de véhicules de service. Celle-ci n’était pas optimisée avec une réservation par le biais d’une armoire à clés et un suivi statistique limité de l’utilisation des véhicules. Le choix du service glide.io pour cette flotte a réduit le nombre de véhicules, tout en accroissant le niveau de services et en apportant un système performant de réservation. La mise en place de ces flottes est la suite logique d’un premier test qui a commencé il y a six ans, quand Crédit Agricole SA a proposé deux Leaf afin de faciliter les trajets entre les deux campus.
800 personnes inscrites et un taux d’utilisation de 36 %
Pour que le service fonctionne bien, l’opérateur doit fournir une application ludique et facile d’utilisation, mais aussi une hotline clients performante. Les modalités de réservation autorisent un usage en journée – les véhicules sont restitués tous les soirs – ou un usage privé avec un coût de location attractif. Nous constatons que l’usage de ces véhicules s’est élargi aux besoins de déplacements professionnels et non plus uniquement aux trajets inter-campus.
L’objectif n’est pas de rentabiliser l’autopartage mais d’offrir un service supplémentaire aux salariés. Avant la crise sanitaire, nous comptions un peu plus de 800 personnes inscrites et un taux d’utilisation de 36 %. Ce qui est un très bon rendement, compte tenu du temps de latence indispensable entre deux réservations et du temps nécessaire pour la recharge électrique. En 2019, nous avons enregistré un total de 2 140 réservations, pour un kilométrage d’une centaine de millier de kilomètres, soit des trajets moyens de 48 km, pour une durée médiane de 3 h 38. »