« Pour les services “social” et “supports”, deux ou trois véhicules de service sont proposés. Avec des VU dérivés VP, C3 ou Clio, ce fonctionnement se substitue aux véhicules de LCD », explique François Feracci. Ce directeur matériel et parc gère 1 300 véhicules pour le spécialiste de la collecte et du recyclage des déchets (voir son témoignage).
Mais d’autres entreprises vont plus loin pour offrir des solutions de mobilité à leurs salariés sans véhicule de fonction. Une flotte complémentaire dont les coûts peuvent aussi être maîtrisés. « Nous voulons apporter des solutions supplémentaires de mobilité », justifie Pierre Boscart de Bouygues...
« Pour les services “social” et “supports”, deux ou trois véhicules de service sont proposés. Avec des VU dérivés VP, C3 ou Clio, ce fonctionnement se substitue aux véhicules de LCD », explique François Feracci. Ce directeur matériel et parc gère 1 300 véhicules pour le spécialiste de la collecte et du recyclage des déchets (voir son témoignage).
Mais d’autres entreprises vont plus loin pour offrir des solutions de mobilité à leurs salariés sans véhicule de fonction. Une flotte complémentaire dont les coûts peuvent aussi être maîtrisés. « Nous voulons apporter des solutions supplémentaires de mobilité », justifie Pierre Boscart de Bouygues Construction. Dans cette entreprise, l’autopartage est encore mené à titre expérimental « avec quelques dizaines de voitures gérées avec des boîtes à clés ou avec le concours d’une assistante », décrit le responsable. Un test qui va de pair avec une recherche de rationalisation des coûts, notamment à travers un meilleur encadrement des utilisations. « Nous sommes en train d’essayer de déployer des solutions avec des applications pour par exemple ouvrir les véhicules par téléphone ou badge », indique Pierre Boscart.
Chez Dentsu Aegis Network France, la flotte en autopartage bénéficie, elle, d’une structure et de coûts tout à fait maîtrisés. « Nous avons trois véhicules en autopartage. Une Mini cabriolet, une BMW Active Tourer et une i3 électrique », énumère Stéphane Belair. Créé pour diminuer le nombre des notes de frais liées aux déplacements, ce service construit avec le loueur Alphabet se veut aussi « un vecteur d’image attrayante auprès de nos salariés », pointe le responsable. Les véhicules peuvent servir pour se rendre à des rendez-vous clients en semaine, mais aussi être loués le soir ou le week-end aux salariés pour des usages personnels. Un service qui rentabilise le dispositif : « Les locations en dehors des heures de travail nous permettent d’amortir le loyer », avance Stéphane Belair. Preuve de cette réussite, l’entreprise va bientôt ajouter un véhicule supplémentaire à sa flotte partagée.