« Cela démocratise l’électrique auprès des salariés pour les trajets professionnels comme personnels, si bien que certains envisagent l’achat d’une voiture électrique à titre personnel. » Selon ce prestataire, les salariés utilisent aussi l’autopartage pour tester des véhicules, dont l’électrique. « L’aspect “expérience“ et la dimension un peu ludique de l’électrique rendent l’autopartage plus attrayant », complète Alexandre Fournier.
L’aspect innovation se veut un autre argument : « Nous avons choisi l’autopartage électrique car nous voulions proposer des véhicules innovants », rappelle Laurent Nicolet pour le Pôle Métropolitain Le Mans Sarthe...
« Cela démocratise l’électrique auprès des salariés pour les trajets professionnels comme personnels, si bien que certains envisagent l’achat d’une voiture électrique à titre personnel. » Selon ce prestataire, les salariés utilisent aussi l’autopartage pour tester des véhicules, dont l’électrique. « L’aspect “expérience“ et la dimension un peu ludique de l’électrique rendent l’autopartage plus attrayant », complète Alexandre Fournier.
L’aspect innovation se veut un autre argument : « Nous avons choisi l’autopartage électrique car nous voulions proposer des véhicules innovants », rappelle Laurent Nicolet pour le Pôle Métropolitain Le Mans Sarthe (voir le reportage). Et pour les entreprises, l’électrique peut aussi constituer un atout pour recruter des jeunes talents : « Le service apporte de la valeur ajoutée pour les employés, avance Bruno Flinois pour Clem’. Et surtout, il permet de cocher la case “mise en place d’une solution écologique de mobilité pour les employés“ sur le plan de mobilité. »
D’où l’importance de la conduite du changement. « L’implantation peut poser problème lorsque l’entreprise pense que l’autopartage va marcher du premier coup. Or, la conduite du changement nécessite de bien communiquer en amont et de faire durer dans le temps, avertit Alexandre Fournier. Des clients ne l’ont pas compris et ont eu plus de mal à atteindre le ROI. »