Stellantis propose ainsi un PHEV basé sur la plate-forme EMP2 V2 : le 1.6 turbo-essence de 150 ou 180 ch plus un moteur électrique de 110 ch alimenté par une batterie de 12,4 kWh ; le tout développe 180 ou 225 ch. Sous le capot de la Peugeot 308, ce PHEV de 180 ch/23 g est facturé 40 870 euros en Active Pack, et 47 470 euros en GT de 225 ch/25 g. Le break SW nécessite 1 000 euros de plus avec un CO2 en très légère hausse : 25 g en 180 ch et 27 g en 225 ch.
On retrouve ce PHEV pour l’Opel Astra en 180 ch/23-24 g (150 ch essence + 110 ch électriques), à un prix assez élevé de 44 050 euros et de 49 150 euros en 225 ch/25-26 g. Le catalogue...
Stellantis propose ainsi un PHEV basé sur la plate-forme EMP2 V2 : le 1.6 turbo-essence de 150 ou 180 ch plus un moteur électrique de 110 ch alimenté par une batterie de 12,4 kWh ; le tout développe 180 ou 225 ch. Sous le capot de la Peugeot 308, ce PHEV de 180 ch/23 g est facturé 40 870 euros en Active Pack, et 47 470 euros en GT de 225 ch/25 g. Le break SW nécessite 1 000 euros de plus avec un CO2 en très légère hausse : 25 g en 180 ch et 27 g en 225 ch.
On retrouve ce PHEV pour l’Opel Astra en 180 ch/23-24 g (150 ch essence + 110 ch électriques), à un prix assez élevé de 44 050 euros et de 49 150 euros en 225 ch/25-26 g. Le catalogue s’est enrichi cette année, outre de la version 225 ch en berline, de la carrosserie break Sports Tourer mais seulement en 180 ch/23-25 g, à 45 200 euros.
Troisième représentante des compactes chez Stellantis, laDS 4 n’est commercialisée qu’avec le PHEV de 225 ch/27-30 g, à 41 500 euros en Bastille. Un prix pas si « premium » pour cette élégante et raffinée berline 5 portes à ne pas sous-estimer par rapport à ses deux cousines.
1 – DS 42 – Toyota Prius +3 – BMW Série 2 Active TourerLe podium
Stellantis face à VW
Chez Volkswagen, la Golf Hybride Rechargeable maintient son offre en PHEV, sur la base du 1.4 turbo-essence de 150 ch plus 110 ch du moteur électrique, avec une batterie de 10,4 kWh ; au cumul, comptez 204 ch/21-33 g à 46 775 euros, et 51 380 euros en GTE de 245 ch/27-33 g. Le break SW n’a pas droit à ce PHEV. Sa cousine la plus proche est la Cupra Leon – la Leon du même métal a disparu au printemps 2023 du catalogue de Seat. Cette Cupra partage bien entendu sa plate-forme et ses motorisations avec la Golf. On retrouve donc l’ensemble 1.4 TSIe PHEV en 204 ch/26 g, à 45 390 euros. À l’instar de la Golf GTE, une version de 245 ch/29 g est aussi proposée à 47 440 euros. Avantage par rapport à VW : cette Cupra Leon se décline en break ST à 47 050 euros en 204 ch/27 g, et à 49 100 euros en 245 ch/29 g.
Toujours dans le groupe VW, on retrouve ce PHEV sous le capot de l’Audi A3 Sportback en 40 TFSIe de 204 ch/25-31 g, à 43 130 euros et 43 830 euros en Business Executive ; et en 45 TFSIe de 245 ch/26-31 g, à 51 170 euros en Compétition. La carrosserie berline 4 portes ne se décline pas en PHEV ; la capacité du coffre, atout principal, serait trop affectée par la place de la batterie.
En PHEV, l’Opel Astra en 180 ch/23-24 g (150 ch essence + 110 ch électriques) est commercialisée à 44 050 euros et 49 150 euros en 225 ch/25-26 g. Le break Sports Tourer n’est disponible qu’en 180 ch/23-25 g, à 45 200 euros.
Le premium allemand
Le premium allemand est aussi représenté par Mercedes. Récemment restylée, sa Classe A s’équipe toujours, en A 250e, d’un PHEV de 218 ch, soit le 1.3 turbo-essence commun à Renault de 160 ch plus 102 ch du moteur électrique alimenté par une grosse batterie de 15,6 kWh. Cette dernière autorise jusqu’à 76 km d’autonomie électrique en circuit urbain WLTP, avec seulement 18 g de CO2. Cette A 250e débute à 48 400 euros en Progressive Line, ou 49 200 euros en Business Line.
La Classe A berline 4 portes a aussi droit à ce PHEV, à 49 050 euros ou 49 850 euros en Business Line pour un CO2 encore plus bas à 17 g – son Cx étant légèrement meilleur que celui de la 5 portes. Les carrosseries dérivées CLA Coupé et CLA Shooting Brake s’en équipent aussi mais seront remplacées dès novembre 2023 par le prochain CLE dont on ne connaît ni les motorisations ni les prix. De son côté, la carrosserie typée monospace de la Classe B a aussi eu droit à un restylage et emporte toujours une version 250e de 218 ch/20 g, à 49 450 euros et 50 250 euros en Business Line.
BMW n’est pas en reste avec sa Série 2 Active Tourer, pareillement assez proche du monospace compact en style comme en praticité, qui se décline en PHEV depuis un an. On retrouve, sur cette nouvelle plate-forme commune à la Mini Countryman, le 3-cyl. 1.5 turbo-essence de 136 ch secondé par un moteur électrique de 109 ch et une batterie de 16,3 kWh. La puissance totale ressort à 245 ch en 225e xDrive pour 14-17 g seulement. Son prix débute à 49 300 euros ou 52 350 euros en Business Design. Poussée à 150 ch pour le moteur thermique et 176 ch pour le moteur électrique, la puissance cumulée de 326 ch se montre tout aussi sobre à 14-16 g ; cette 230e xDrive débute pour sa part à 52 300 euros ou 55 350 euros en Business Design.
L’offre de Kia et Toyota
Si Hyundai a abandonné le PHEV sur ce segment en se concentrant sur sa Ioniq 100 % électrique, le cousin Kia propose toujours sa Ceed SW break avec son PHEV 1.6 GDi essence de 105 ch, aidé par un moteur électrique de 60 ch, pour 141 ch/29-33 g au total ; comptez 38 540 euros. Sa carrosserie berline 5 portes XCeed surélevée offre aussi ce PHEV de 141 ch/32-38 g, à 37 140 euros.
Enfin, citons la toute dernière Toyota Priuscinquième du nom, avec de premières livraisons programmées pour cet automne 2023. Elle n’est commercialisée en France qu’avec un PHEV de 223 ch/11-16 g. Le 2.0 essence de 152 ch est alors secondé par un moteur électrique de 163 ch, alimenté par une batterie de 13,6 kWh autorisant 86 km d’autonomie en mode électrique. Son prix débute à 43 900 euros.
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