
Illustration avec la dernière Peugeot 308. Qui bénéficie de la plate-forme EMP2 V3 vue sur la DS 4, le C5 X ou pour la récente Astra, avec à la clé des versions électriques, en plus des hybrides rechargeables déjà connues. Mais Peugeot ne délaisse pas l’essence pour sa 308. C’est ainsi le 1.2 PureTech en 110 ch/124-126 g qui est à l’œuvre en accès à la gamme à 24 800 euros en Active Pack. En 130 ch/125-127 g, l’Active Pack débute à 26 200 euros et à 28 200 euros en boîte auto EAT8 à 127-133 g. Le break SW reprend cette gamme pour 1 000 euros et 2 g de CO2 en plus.



Illustration avec la dernière Peugeot 308. Qui bénéficie de la plate-forme EMP2 V3 vue sur la DS 4, le C5 X ou pour la récente Astra, avec à la clé des versions électriques, en plus des hybrides rechargeables déjà connues. Mais Peugeot ne délaisse pas l’essence pour sa 308. C’est ainsi le 1.2 PureTech en 110 ch/124-126 g qui est à l’œuvre en accès à la gamme à 24 800 euros en Active Pack. En 130 ch/125-127 g, l’Active Pack débute à 26 200 euros et à 28 200 euros en boîte auto EAT8 à 127-133 g. Le break SW reprend cette gamme pour 1 000 euros et 2 g de CO2 en plus.



Le trio 308, Mégane, C4
La Renault Mégane n’est pas pour autant ringardisée. Elle a été restylée il y a un peu plus d’un an, et a eu droit aux dernières motorisations thermiques et hybrides FHEV et PHEV. En essence donc, l’accès à la gamme passe par l’excellent 4-cyl. 1.3 TCe en 115 ch/127 g à 24 700 euros en Zen ou 25 550 euros en Business. En 140 ch/133 g, il est associé obligatoirement à la boîte à double embrayage EDC pour 29 350 euros en Business. Le break Mégane Estate nécessite 1 000 euros et 1 g de CO2 en plus.
Revenons chez Stellantis avec la toute récente Citroën C4 (voir l’essai flash page 65). Celle-ci est basée non pas sur la plate-forme EMP2 mais sur la CMP commune aux 208-2008 ou Mokka, ce qui autorise une version électrique. On retrouve donc le 3-cyl. 1.2 PureTech en trois puissances. Le 100 ch/126 g ouvre l’accès à la gamme à 21 000 euros en Live ou 23 200 euros en Live Pack Business. Il est complété par sa version de 130 ch/123-124 g en boîte manuelle à 23 600 euros (pas de Business), et à 130-132 g en boîte auto EAT8 pour 27 100 euros en Feel et 29 400 euros en Feel Pack Business. Enfin, le 155 ch/134-136 g est obligatoirement en boîte auto à 30 950 euros en Shine (pas de Business).
Chez Stellantis, citons aussi la future Opel Astra attendue début 2022 avec la nouvelle plate-forme EMP2 V3 de la 308. Pour l’heure, l’Astra d’ancienne génération reste toujours au catalogue en Elegance Business avec le 3-cyl. 1.2 turbo en 110 ch/119-128 g à 26 300 euros, et en 130 ch/120-128 g à 27 200 euros. Une originalité : le 3-cyl. 1.3 turbo de 145 ch, venu de l’ancien propriétaire GM, obligatoirement en boîte auto CVT à 130-142 g et à 29 600 euros en Elegance Business. Le break Sports Tourer nécessite 1 450 euros et 3 g de CO2 en plus.
Très prolifique, Stellantis a aussi (re)lancé la DS 4 cet automne, dorénavant basée sur cette plate-forme EMP2 V3 et fabriquée chez Opel auprès de l’Astra. Positionnée dans le premium, cette nouvelle DS 4 s’équipe de motorisations essence, toutes en boîte auto EAT8, en pas moins de trois puissances, c’est bien. L’accès à la gamme se fait avec l’incontournable 3-cyl. 1.2 turbo-essence de 130 ch/135-139 g à 29 200 euros en finition Bastille. Le 4-cyl. 1.6 turbo-essence de 180 ch passe à 146-151 g pour 35 400 euros, et le 225 ch émet 149-155 g pour 42 200 euros.

La Golf se déploie
Toujours n° 1 en Europe, la Golf souffle sa première bougie et Volkswagen a déployé cette année ses nombreuses motorisations. En essence et en Life Business (pour tous les tarifs), cette Golf fait valoir son 3-cyl. 1.0 TSI en 110 ch/123-147 g à 29 035 euros. Sa version MHEV de 48 V en 110 ch et boîte DSG7 fait descendre à 118 g mais tire le prix à 31 765 euros. Enfin, le 4-cyl. 1.5 TSI de 130 ch/122-149 g pointe à 30 690 euros ; en version MHEV de 48 V à 124-144 g et boîte DSG7, comptez 33 415 euros. Le break Golf SW reprend cette gamme pour 1 375 euros et 2 g de CO2 en plus.
Chez Audi, la récente A3 partage la plate-forme MQB Evo avec la Golf. Elle en reprend donc le 1.0 TFSI de 110 ch/124-134 g en accès à la gamme, pour un prix déjà premium de 32 930 euros en Business Line (pour tous les tarifs). Avec l’hybridation légère MHEV de 48 V, le CO2 descend à 116-127 g, obligatoirement en boîte DSG7 S-Tronic7, pour 35 080 euros. Plus polyvalent, le 1.5 TFSI de 150 ch/132-145 g nécessite pas moins de 33 950 euros ; sa version S-Tronic7 passe à 129-141 g pour 36 100 euros. L’originale carrosserie berline 4 portes, avec sa malle arrière classique, reprend cette gamme pour 550 euros de plus mais 4 g de CO2 en moins.
Restons dans le premium avec BMW. Sa Série 1 s’est enrichie cette année d’une version 116i de 109 ch/129-147 g, soit un accès à la gamme à 29 450 euros en Business Design. On retrouve ce 3-cyl. 1.5 en 136 ch/129-146 g pour la 118i à 32 210 euros en Business Design. Pour passer aux 178 ch/137-152 g du 4-cyl. 2.0 turbo-essence en boîte auto, il faut passer à la finition « Série 1 » à 33 950 euros.
Le premium
La version monospace Série 2 reprend le 109 ch/139-149 g en 216i à 29 250 euros seulement en Business Design (pour tous les tarifs) – mais sa carrosserie n’est plus dans l’air du temps. La 218i de 136 ch/136-147 g est à 32 550 euros. En Série 2 Gran Tourer et 7 places, la 216i de 109 ch/142-155 g est à 30 800 euros et la 218i passe à 34 100 euros pour 136 ch/141-154 g. Enfin, la plus récente et élégante Série 2 Gran Coupé reprend le 1.5 turbo-essence en 136 ch/129-141 g à 36 450 euros en Business Design, ou passe au 4-cyl. 2.0 turbo-essence de 178 ch/136-138 g, obligatoirement en boîte auto à 38 820 euros.
Mercedes se montre tout aussi prolifique en carrosseries, et toujours sur la plate-forme MFA2 rallongée ou raccourcie à souhait. La Classe A débute donc en 5 portes A160 avec le 4-cyl. 1.3 turbo-essence commun à Renault et disponible en trois puissances. L’accès se fait avec le 109 ch/133 g à 30 800 euros en Business Line (pour tous les tarifs). Suit l’A180 de 136 ch/132 g à 31 800 euros en boîte manuelle et à 134 g pour 34 050 euros en boîte 7G-DCT. En A200 de 163 ch/134 g, le prix est de 36 050 euros, boîte auto de série. En berline 4 portes, l’A180 de 136 ch/131 g s’affiche à 32 450 euros et l’A 200 de 163 ch/133 g, à 36 700 euros.
Le monospace Classe B affiche 3 g de CO2 et 2 150 euros en plus, à motorisations comparables. Dans sa carrosserie CLA Coupé Shooting Brake (un long break coupé), on retrouve le 1.3 turbo-essence en 136 ch/132 g à 37 450 euros, et en 163 ch/134 g à 41 700 euros. Mais il faut avouer que son style est plus seyant que celui de la Classe B !
Enfin, dans le premium, citons Mini et sa Clubman, véritable compacte break à 6 portes (!) avec sa double ouverture arrière. L’accès à la gamme s’effectue en 3-cyl. 1.5 turbo-essence commun à BMW : soit 102 ch/135-141 g à 26 100 euros en One, ou 136 ch/136-147 g à 28 100 euros en Cooper (pack Business Design : + 2 400 euros).
Retour aux généralistes
Revenons aux généralistes avec la Seat Leon, en tous points comparable aux cousines Golf et A3. En Style Business, elle se dote du 1.0 TSI de 110 ch/124-129 g à 25 645 euros ou du 1.0 eTSI de 110 ch/125-130 g en boîte DSG7 à 27 715 euros. Le break Sportstourer nécessite 1 040 euros et 2 g de CO2 en plus. Pour le 1.5 TSI de 150 ch/132-136 g, il faut passer en XCellence à 29 640 euros ou à 31 710 euros en eTSI DSG7 de 150 ch/131-135 g. Avec ce 1.5 eTSI, le break ajoute 1 550 euros.
Citons aussi Skoda avec sa Scala basée sur la plate-forme de la Polo et non de la Golf, avec à la clé un tarif imbattable. Ainsi, le 3-cyl. 1.0 TSI débute à 95 ch/118-126 g pour 25 370 euros en Business (pour tous les tarifs) et passe à 26 160 euros en 110 ch/119-128 g. Avec la boîte DSG7, ce 110 ch/129-137 g est à 27 660 euros. En 4-cyl. 1.5 TSI de 150 ch/123-132 g, le prix est à 27 770 euros ou 29 270 euros avec la boîte DSG7 pour 130-137 g. Une version au gaz naturel comprimé TGI G-Tec existe aussi sur la base du 1.0 TSI en 90 ch/98-103 g pour 26 400 euros.
Ces généralistes trouvent toujours une redoutable concurrente dans la Ford Focus. Qui se dote du 3-cyl. 1.0 Ecoboost de 125 ch/125 g, à 26 600 euros en Titanium XBusiness ou 28 600 euros en boîte auto à 137 g. Mais aussi de la récente version 1.0 Flexifuel E85 Hybrid MHEV de 48 V, toujours en 125 ch mais à 110 g pour 27 600 euros. Pour la version de 155 ch/119 g MHEV de 48 V mais non E85, il faut passer à la ST-Line à 28 500 euros. Enfin, le 4-cyl. 1.5 Ecoboost de 150 ch/143 g s’offre la boîte auto à 31 100 euros en ST-Line X. Le break SW demande 1 200 euros et 4 g de CO2 en plus.

Focus, Ceed ou i30 ?
Kia fait toujours valoir sa compacte Ceed emmenée par le 1.0 T-GDi en 100 ch/131 g à 24 420 euros en Active Business, et en 120 ch/126-132 g pour 500 euros de plus. Le 1.5 T-GDi passe à 160 ch/129-133 g à 25 920 euros en Active Business, et à 27 420 euros avec la boîte DCT7 pour 133-134 g. Le break Ceed SW reprend ces motorisations pour 2 g de CO2 et 1 000 euros en plus. Plus intéressante, la XCeed, surélevée et baroudeuse, se calque sur cette gamme et débute en 120 ch/135-139 g à 27 240 euros, toujours en Active Business. Le 160 ch/137-143 g passe à 28 240 euros et à 29 740 euros en DCT7 pour 140-142 g.
Chez le cousin Hyundai, logique identique avec l’i30 5 portes dotée du 1.0 turbo-essence MHEV de 48 V qui débute à 120 ch/121-134 g pour 24 300 euros en Intuitive (pas de Business). Le break i30 est à 27 200 euros en Créative avec le 120 ch/121 g. Le coupé 5 portes i30 Fastback n’est proposé qu’avec le 1.5 turbo-essence en 160 ch/137 g, avec la boîte auto, à 32 550 euros en N-Line.
Dans l’« access premium », Mazda mise sur sa compacte Mazda3 équipée du 2.0 Skyactiv à hybridation légère de 122 ch : elle n’émet que 124-127 g pour un prix sage de 27 900 euros en Business Executive. La boîte auto nécessite 2 000 euros de plus pour 138-140 g. Plus étonnant, ce moteur en 186 ch redescend à 118-121 g mais le prix monte à 29 400 euros en Business Executive, voire 31 400 euros en boîte auto à 133-137 g. Les amateurs de transmission intégrale 4×4 pourront accéder à ce 186 ch pour 135 g en boîte manuelle et 146 g en boîte auto. La berline 4 portes reprend cette gamme pour un CO2 plus bas de 4 g et un prix… identique !

Honda et Fiat
Citons aussi Honda à la qualité de fabrication irréprochable, qui fait valoir sa Civic de dixième génération ! Son 1.0 i-Vtec essence de 126 ch/134 g ouvre un accès à la gamme à 24 420 euros.
Enfin, en attendant le grand break Jogger qui prendra le relais de la Logan MCV début 2022, Dacia laisse la place libre à la Fiat Tipo. Celle-ci n’est plus équipée que du 3-cyl. FireFly de 100 ch/127-130 g à 21 990 euros en Life Business, et à 23 490 euros en break pour 1 g de CO2 en plus.

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