Segment C – Les berlines compactes et breaks à moins de 101 g de CO2 – Constructeurs généralistes : l’embarras du choix
Avec les berlines compactes et les breaks des constructeurs généralistes, l’offre à moins de 100 g est assez importante mais on sera surpris ne pas y trouver Renault et sa Mégane.
Tous les tarifs s’entendent TTC et « à partir de ». Nous remercions Autovista de nous avoir communiqué les listes des véhicules concernés. Les grammages de CO2 sont exprimés en NEDC corrélé.
De son côté, le Groupe PSA place trois modèles. Débutons donc par la Peugeot 308 qui bénéficie des avantages du 1.5 BlueHDi en 100 ch à 97 g (26 600 euros en Active Business), mais aussi en 130 ch et boîte manuelle à seulement 92 g (28 200 euros en Active Business) et à 94 g en boîte auto (30 200 euros). La finition supérieure Allure Business nécessite pas moins de 2 200 euros en plus. Notez que le grand break SW de cette 308 réussit l’exploit d’afficher...
Tous les tarifs s’entendent TTC et « à partir de ». Nous remercions Autovista de nous avoir communiqué les listes des véhicules concernés. Les grammages de CO2 sont exprimés en NEDC corrélé.
De son côté, le Groupe PSA place trois modèles. Débutons donc par la Peugeot 308 qui bénéficie des avantages du 1.5 BlueHDi en 100 ch à 97 g (26 600 euros en Active Business), mais aussi en 130 ch et boîte manuelle à seulement 92 g (28 200 euros en Active Business) et à 94 g en boîte auto (30 200 euros). La finition supérieure Allure Business nécessite pas moins de 2 200 euros en plus. Notez que le grand break SW de cette 308 réussit l’exploit d’afficher des grammages identiques, pour un surcoût de 850 euros à finition équivalentes.
La Cactus, qui a repris le patronyme de la C4 pour mieux se repositionner dans la gamme Citroën, peut aisément aligner 92 g avec le 1.5 BlueHDi de 100 ch. La C4 Cactus devient ainsi la plus « petite » des compactes de ce segment à 4,17 m de long, moins qu’un SUV citadin du segment inférieur. Son prix est en rapport à 23 300 euros en Feel Business et 25 500 euros en Shine Business.
La troisième compacte de cette confrérie n’a de PSA que son appartenance au groupe : l’Opel Astra récemment restylée et remotorisée reste issue de l’ère GM, contrairement à la récente Corsa. Ce qui ne l’empêche pas de briller avec ses deux motorisations essence et diesel sous les 100 g. Le 1.2 turbo essence de 110 ou 130 ch affiche 99 g (avec les petites roues de 16’’), pour des prix séduisants de 23 550 et 24 450 euros en Edition Business. Mais ce moteur essence passe au-dessus des 100 g sous le capot avant du grand break Sports Tourer. En diesel, c’est plus facile pour cette Astra, avec des CO2 équivalents en berline 5 portes comme en break. Le 1.5 turbo diesel de 105 ch émet 90 g et 92 g en 122 ch, avec des prix de 26 150 et 26 950 euros en Edition Business. Ajoutez 800 euros pour le break.
Toujours venu d’Allemagne, la Volkswagen Golf fait sa mue. Et dès ce mois de février, vous pourrez choisir parmi les nouvelles motorisations essence et diesel à hybridation légère de 48 V, qui devraient passer sous les 100 g.
L’Opel Astra se dote du 1.2 turbo essence de 110 ou 130 ch à 99 g (roues de 16’’), pour 23 550 et 24 450 euros en Edition Business. En diesel, le 1.5 turbo de 105 ch émet 90 g, pour 26 150 euros en Edition Business.
La Golf attend son heure
Pour l’heure, la Golf 7 est toujours au catalogue dans une gamme simplifiée et, surtout, dans sa version break SW qui devrait perdurer cette année encore. Pour la berline 5 portes, le 1.6 TDI de 115 ch parvient à 100 g tout rond avec ses roues de 16 ’’, pour 29 910 euros tout de même en Trendline Business et la coquette somme de 31 470 euros en Confortline Business. Le break SW affiche aussi 100 g pour 32 445 euros en Confortline Business uniquement.
L’Allemagne est toujours au programme avec la Ford Focus qui fait valoir ses récentes motorisations d’une grande sobriété. Le 1.5 EcoBlue turbodiesel de 95 ch émarge à 89 g, pour 24 650 euros en Trend Business. En 120 ch, plus adaptés aux gros rouleurs, les émissions passent à 92 g et le prix à 25 650 euros, toujours en Trend Business. Deux finitions mieux équipées sont proposées pour ce 120 ch : ST Line Business et Active Business, toutes deux à 27 500 euros.
En essence pour la Focus, le 1.0 EcoBoost fait toujours des merveilles en 125 ch à 97 g pour 27 350 euros en ST Line Business ou en Active Business. Le break SW aligne aussi 97 g pour un supplément uniforme de 1 000 euros. Enfin, la version 100 ch de ce moteur, moins puissante et moins sobre, passe à 98 g mais offre une Focus d’accès à la gamme en essence à 22 900 euros en Trend Business – un bel effort. Le break est aussi à 98 g pour 1 000 euros de plus (voir notre essai flash).
Corolla et Prius chez Toyota
Pour sa part, Toyota fait valoir ses motorisations hybrides. Et la transformation de sa compacte Auris en plus populaire Corolla l’an dernier s’est accompagné de l’arrêt des motorisations diesel et essence dans la gamme. Du coup, cette Corolla a droit à deux puissances en hybride et en Dynamic Business : 122 ch et 76 g pour 29 200 euros en Dynamic Business, et 180 ch et 85 g, imbattable, pour 31 200 euros. Des finitions classiques existent à des prix inférieurs. Encore plus séduisant car nettement plus logeable et plus grand, le break Touring Sports (4,65 m de long contre 4,37 m en 5 portes) affiche des émissions identiques pour 1 000 euros en sus. Assurément le bon choix au vu du rapport prestations/prix.
Toujours chez Toyota, il faut citer l’inoxydable Prius de quatrième génération, qui a lancé l’hybridation sur marché et se présente en deux versions : hybride simple et hybride rechargeable qui ne nous intéresse pas ici. La première développe donc 122 ch pour 75 g, à 31 700 euros en Dynamic Pack Premium Business (ouf !).
Les coréens ont suivi ce chemin de l’hybridation mais c’est Hyundai qui a le premier osé la plate-forme multi-énergies pour un seul modèle : la Ioniq disponible en hybride, hybride rechargeable et électrique. Cette Ioniq Hybrid est emmenée par le 1.6 essence de 105 ch, aidé par un moteur électrique de 43 ch, le tout développant au maximum 141 ch pour un petit 79 g. Son prix : 28 250 euros en Business. Autre choix pour abaisser encore les prix, la berline classique i30 parvient à tout juste 99 g avec le 1.6 CRDi turbodiesel de 95 ch, pour 25 700 euros en Business.
La Hyundai Ioniq Hybrid est emmenée par le 1.6 essence de 105 ch, aidé par un moteur électrique de 43 ch, le tout développant au maximum 141 ch pour un petit 79 g. Son prix : 28 250 euros en Business.
Ioniq, Ceed ou Leon ?
Kia suit un chemin différent puisque l’hybridation ne concerne que ses SUV. Sa compacte Ceed ne peut donc faire valoir que son 1.6 CRDi en 115 ch tout de même, à 99 g pour 26 920 euros en Active Business. Intéressant aussi, le break SW aligne pareillement 99 g pour 1 000 euros en plus. Avant de passer aux premiums du segment, il nous faut évoquer la Seat Leon et ses deux motorisations. La première est le classique 1.6 TDI de 115 ch TGI à 100 g en berline 5 portes (27 320 euros en Style Business), mais aussi en break Sportourer ST (28 470 euros en Style Business). Sans oublier l’unique Leon 1.5 TGI de 130 ch carburant au GNV à 93 g. Comptez 28 710 euros en berline Style Business et 29 860 euros en break.
Moins répandue dans les flottes, la Honda Civic fait pourtant valoir son 1.6 i-DTEC de 120 ch turbodiesel à 93 g à partir de 25 880 euros. Enfin, concluons avec la Dacia Logan qui mise sur son poids plume et son prix à partir de 11 860 euros, avec le 1.5 dCi de 75 ch à 96 g. Sa version de 95 ch est aussi à 96 g, à partir de 13 560 euros. La carrosserie break MCV, toujours à 96 g, débute à 13 610 euros en 75 ch et 14 210 euros en 95 ch.
Chez Kia, la compacte Ceed fait valoir son 1.6 CRDi en 115 ch tout de même, à 99 g pour 26 920 euros en Active Business. Intéressant aussi, le break SW aligne pareillement 99 g pour 1 000 euros en plus.
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