Dernière optimisation en date, une montée en puissance qui s’accompagne d’une réduction de la consommation. Ce passage à 190 ch du 520d (184 ch auparavant) se double d’un abaissement des émissions à 114 g, voire 109 g en boîte automatique (soit respectivement 4,3 l et 4,1 l/100 km).
La Série 5 avait déjà prouvé qu’elle était une spécialiste de l’efficience, mais on ne peut que saluer la performance. Mieux ! L’agrément y gagne énormément ; ce nouveau moteur se voulant à la fois plus vif et plus docile. Et si l’hyperactivité du stop & start est un peu horripilante, elle témoigne de la volonté d’économiser la moindre goutte de carburant.
Pour le reste, nous retrouvons les qualités intrinsèques de cette BMW, à savoir un comportement et un confort de haut vol auxquels s’ajoute une qualité d’accueil exemplaire. Et si la 518d avec ses désormais 150 ch ne démérite pas pour autant, la 520d se pose comme le meilleur compromis dans la gamme.
Véhicules haut de gamme 2015 : chics, chers et plutôt verts
- Véhicules haut de gamme 2015 : chics, chers et plutôt verts
- Véhicules haut de gamme 2015 : les berlines H1
- BMW Série 5 berline 520d 190 ch : aussi frugale qu’agréable
- Véhicules haut de gamme 2015 : les berlines H2
- Porsche Panamera S E-Hybrid : la plus branchée
- Véhicules haut de gamme 2015 : les SUV de luxe
- « Le développement durable conditionne nos décisions », Aquiles Pilidis, AkzoNobel