C’est parti de ce constat que la ville de Bordeaux est devenue signataire de la Charte pour le déploiement d’infrastructures publiques de recharge de véhicules électriques. Lancée le 13 avril 2010, cette charte regroupe une quinzaine de villes, de communautés d’agglomération ainsi que des entreprises actives dans la mobilité, autour un but commun : créer un véritable réseau de bornes propice au développement de la mobilité électrique.À ce titre, Bordeaux est devenue ville pilote et a déployé un plan d’actions financé dans le cadre du programme Écocités ; ce plan prévoit l’installation d’une vingtaine de bornes sur l’espace public d’ici 2015...
C’est parti de ce constat que la ville de Bordeaux est devenue signataire de la Charte pour le déploiement d’infrastructures publiques de recharge de véhicules électriques. Lancée le 13 avril 2010, cette charte regroupe une quinzaine de villes, de communautés d’agglomération ainsi que des entreprises actives dans la mobilité, autour un but commun : créer un véritable réseau de bornes propice au développement de la mobilité électrique.À ce titre, Bordeaux est devenue ville pilote et a déployé un plan d’actions financé dans le cadre du programme Écocités ; ce plan prévoit l’installation d’une vingtaine de bornes sur l’espace public d’ici 2015. À l’heure actuelle, sept infrastructures de recharge rapide, comportant trois prises chacune, ont déjà été installées et mises à disposition gratuitement. Véhicules, vélos ou scooters peuvent venir librement s’y brancher.
« Certaines de ces bornes sont munies de batteries qui se chargent en heures creuses et complètent la puissance du réseau électrique lors de la charge rapide d’un véhicule. Elles écrêtent alors l’appel de puissance sur le réseau ERDF et peuvent totalement délester celui-ci pendant les heures de pointe », complète Laurent Monesma. Ce développement à l’initiative de la ville s’accompagne en parallèle de l’implantation des stations d’auto-partage grand public BlueCub, aujourd’hui au nombre de 36.