« Mon parc se compose de deux véhicules, un triporteur et un Trafic. J’ai créé ma société en mai 2018. Le camion a été acheté directement à l’ouverture et le triporteur l’a été en juillet sur le marché local. J’ai acquis ce triporteur sur les conseils de mon voisin paysagiste, Thomas Courties, qui travaille exclusivement avec ce mode de locomotion (voir l’article).
Mais dans mon activité, je ne peux pas tout faire avec ce vélo : je dois notamment transporter des coffres-forts ou des portes blindées. Le triporteur est réservé aux petites interventions dans un périmètre réduit. Il constitue un complément à l’utilitaire, avec notamment un fort...
« Mon parc se compose de deux véhicules, un triporteur et un Trafic. J’ai créé ma société en mai 2018. Le camion a été acheté directement à l’ouverture et le triporteur l’a été en juillet sur le marché local. J’ai acquis ce triporteur sur les conseils de mon voisin paysagiste, Thomas Courties, qui travaille exclusivement avec ce mode de locomotion (voir l’article).
Mais dans mon activité, je ne peux pas tout faire avec ce vélo : je dois notamment transporter des coffres-forts ou des portes blindées. Le triporteur est réservé aux petites interventions dans un périmètre réduit. Il constitue un complément à l’utilitaire, avec notamment un fort impact en matière de communication. Mais il n’est pas indispensable à mon activité. L’utilitaire demeure de fait le moyen le plus pratique pour mes déplacements, pour des trajets courts ou éloignés, et son champ d’utilisation reste largement supérieur à celui du triporteur.
Le triporteur que j’ai acheté m’a coûté environ 2 000 euros. C’est un modèle conçu à l’origine pour transporter des enfants dans une benne à l’avant. C’est cette benne que j’utilise pour mon matériel. Je l’ai aménagée et recouverte pour pouvoir la fermer quand je me déplace chez les clients. »