Bruno Renard, CEA de Grenoble : « Vous gagnez sur tous les plans avec l’électrique »
À la tête d’une flotte de 130 véhicules, dont 80 modèles verts, le CEA de Grenoble tire un bilan positif de ces motorisations alternatives, que ce soit pour leur usage ou leur TCO.
Bruno Renard est coordonnateur de la responsabilité sociétale et gestionnaire de la flotte au CEA de Grenoble.
« Avec les véhicules électriques, plus le temps passe, plus nous gagnons de l’argent. Hormis la location des batteries (70 euros/mois), nos 30 Renault Twizy ne nous coûtent quasiment rien. Nous avons eu zéro panne, les coûts d’entretien et d’utilisation sont dérisoires, surtout en recourant aux bornes de recharge du CEA. Et en dehors, sur des bornes publiques, il faut compter 3 euros la recharge.
Nos Twizy, qui valaient 7 000 euros à l’achat, ont aujourd’hui plus de six ans et nous allons les garder aussi longtemps que possible, si...
Bruno Renard est coordonnateur de la responsabilité sociétale et gestionnaire de la flotte au CEA de Grenoble.
« Avec les véhicules électriques, plus le temps passe, plus nous gagnons de l’argent. Hormis la location des batteries (70 euros/mois), nos 30 Renault Twizy ne nous coûtent quasiment rien. Nous avons eu zéro panne, les coûts d’entretien et d’utilisation sont dérisoires, surtout en recourant aux bornes de recharge du CEA. Et en dehors, sur des bornes publiques, il faut compter 3 euros la recharge.
Nos Twizy, qui valaient 7 000 euros à l’achat, ont aujourd’hui plus de six ans et nous allons les garder aussi longtemps que possible, si bien que leur rentabilité progresse chaque jour. Si nous faisions appel à des modèles thermiques à la place, le TCO exploserait. Il n’y a pas de comparaison qui tienne. Sans parler de la satisfaction des conducteurs, qui est excellente. Et avec 33 % de taux d’utilisation en autopartage, la productivité de ces véhicules est maximisée.
S’agissant des Renault Zoé, les bénéfices sur le TCO se font surtout à l’usage. Plus le kilométrage annuel est important et plus les voitures deviennent rentables. Au-delà de 20 000 km/an, leur coût énergétique n’augmente pas, contrairement à des véhicules thermiques pour lesquels chaque kilomètre parcouru se paie à la pompe.
Le coût d’une recharge reste en effet identique, que l’on parcoure 50 km ou 150 km dans la journée en électrique. Le potentiel d’économie sur le TCO peut être considérable, à condition de rouler beaucoup. Et si vous ajoutez des coûts d’entretien réduits, vous y gagnez sur tous les plans. Avec les nouvelles Zoé Z.E. 400 et leur autonomie prolongée, nous allons notamment pouvoir effectuer de plus grandes distances quotidiennes. Ces véhicules pourront être affectés pour les missions extérieures de nos ingénieurs commerciaux, en remplacement de modèles thermiques bien plus onéreux à l’usage. »
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