« Pour la constitution de la car policy, nous avons de nouveaux paramètres à considérer avec le télétravail, confirme Catherine Dutang pour l’équipementier JTEKT. Il y a désormais deux jours par semaine de présentiel, deux jours de télétravail et une journée chômée. Cela va modifier sensiblement les lois de roulage », expose cette gestionnaire à la tête d’environ 150 véhicules.
Chez JTEKT, la part de télétravail a connu un essor notable avec la crise sanitaire. « À la fin du confinement, il y a eu une grande période de chômage partiel avec une partie de télétravail et le développement de la visioconférence », complète la responsable. Pour...
« Pour la constitution de la car policy, nous avons de nouveaux paramètres à considérer avec le télétravail, confirme Catherine Dutang pour l’équipementier JTEKT. Il y a désormais deux jours par semaine de présentiel, deux jours de télétravail et une journée chômée. Cela va modifier sensiblement les lois de roulage », expose cette gestionnaire à la tête d’environ 150 véhicules.
Chez JTEKT, la part de télétravail a connu un essor notable avec la crise sanitaire. « À la fin du confinement, il y a eu une grande période de chômage partiel avec une partie de télétravail et le développement de la visioconférence », complète la responsable. Pour l’instant, difficile d’évaluer les conséquences de cette réorganisation sur les choix de motorisations dans la car policy. Mais une action est néanmoins déjà indispensable : le réajustement des contrats. « Même si cela ne va pas se voir tout de suite, les gros rouleurs vont diminuer leurs kilométrages et ceux qui ne roulaient pas beaucoup vont rouler encore moins », commente Catherine Dutang (voir le reportage).
Mais la conjoncture, de la crise sanitaire à la LOM en passant par le WLTP, pourrait influer d’une autre manière sur les car policies. Tout simplement en incitant un nombre croissant de salariés à décliner les propositions des entreprises d’un véhicule de fonction. « De nombreux collaborateurs qui n’habitent pas très loin du siège ont tendance à moins demander des voitures de fonction et choisissent une compensation financière en substitution », note à ce propos Rémy Peltier, acheteur responsable des 400 véhicules de la flotte de CNP Assurances (voir l’article).