Chimirec a décidé d’étendre ses compétences dans le domaine des déchets industriels non dangereux : pare-brise, ferraille, carton, aluminium, pare-chocs, etc. « Qui peut le plus peut le moins, résume Julien Salive, responsable commercial national déchets automobiles de Chimirec. Ces déchets font l’objet d’une réglementation moins rigoureuse et de ce fait sont moins faciles à suivre par les industriels », complète-t-il. Tout en mettant en avant une meilleure traçabilité.
Cette offre permettra aussi aux spécialistes de l’entretien et de la réparation de n’avoir qu’un seul interlocuteur pour l’ensemble de leurs activités de recyclage. Est-ce...
Chimirec a décidé d’étendre ses compétences dans le domaine des déchets industriels non dangereux : pare-brise, ferraille, carton, aluminium, pare-chocs, etc. « Qui peut le plus peut le moins, résume Julien Salive, responsable commercial national déchets automobiles de Chimirec. Ces déchets font l’objet d’une réglementation moins rigoureuse et de ce fait sont moins faciles à suivre par les industriels », complète-t-il. Tout en mettant en avant une meilleure traçabilité.
Cette offre permettra aussi aux spécialistes de l’entretien et de la réparation de n’avoir qu’un seul interlocuteur pour l’ensemble de leurs activités de recyclage. Est-ce forcément une bonne chose ? Ces spécialistes ont de fait tendance à choisir le prestataire le plus performant dans chaque filière. De son côté, Chimirec veut jouer la carte de la mutualisation des transports et donc de la réduction des coûts.
L’industriel a multiplié les initiatives pour globaliser au mieux son offre. Ainsi propose-t-il depuis l’année dernière un service d’hydro-curage avec un séparateur d’hydro-carbures, par le biais d’une cuve enterrée divisée en son milieu par une cloison qui laisse les boues d’hydrocarbures au fond. Dès lors que la partie réservée aux boues est pleine, Chimirec vient les pomper. Il n’y a donc pas de rejet dans le canal des eaux usées.
Et pour mieux convaincre encore, Chimirec loue à ses clients des bacs en acier galvanisé, très résistants.
Par ailleurs, l’industriel a acquis une société, ELR, spécialisée dans la valorisation des emballages plastiques. Pour Chimirec, qui rappelle que sa vocation première est la valorisation matière, c’est-à-dire transformer les déchets en matière première « secondaire », l’enjeu des plastiques souillés est particulièrement important. C’est là que sont attendus les progrès technologiques majeurs.