Christophe Sueur, SOS Oxygène : « Des contrôles réguliers des badges d’autoroute »
Spécialiste de l’assistance respiratoire à domicile, SOS Oxygène suit de près l’utilisation de ses 1 200 badges d’autoroute, avec bientôt une remontée dans son outil de gestion de flotte.
Christophe Sueur est contrôleur de gestion et responsable des achats et services généraux chez SOS Oxygène.
« Notre parc compte aujourd’hui 1 400 véhicules répartis sur l’ensemble du territoire. Le nombre de badges sur la route s’élève environ à 1 200. Ces badges d’autoroute sont fournis à chaque salarié technicien itinérant qui arrive dans l’entreprise, ainsi qu’aux commerciaux et directeurs d’agence. Pour ces badges, nous avons des contrats avec plusieurs opérateurs : Vinci, APRR et Sanef.
Le suivi des utilisations est assuré par chaque directeur d’agence qui reçoit les factures et les vérifie. En effet, chez nous, chaque société fonctionne...
Christophe Sueur est contrôleur de gestion et responsable des achats et services généraux chez SOS Oxygène.
« Notre parc compte aujourd’hui 1 400 véhicules répartis sur l’ensemble du territoire. Le nombre de badges sur la route s’élève environ à 1 200. Ces badges d’autoroute sont fournis à chaque salarié technicien itinérant qui arrive dans l’entreprise, ainsi qu’aux commerciaux et directeurs d’agence. Pour ces badges, nous avons des contrats avec plusieurs opérateurs : Vinci, APRR et Sanef.
Le suivi des utilisations est assuré par chaque directeur d’agence qui reçoit les factures et les vérifie. En effet, chez nous, chaque société fonctionne en centre de gestion autonome et les agences ont un budget sur lequel elles sont contrôlées. Nos équipes au siège mènent des contrôles réguliers. Ce que nous avons fait par exemple fin septembre pour savoir si des badges avaient été employés jusqu’à fin août pendant les vacances. Pour constater ces dépenses, nous vérifions directement les listings de facturation et nous n’avons pas d’alertes particulières. Nous recourons pareillement aux badges pour les parkings mais cela reste rare. Et nous en vérifions également les utilisations.
Pour l’instant, nous demandons aux prestataires de nous fournir des statistiques d’utilisation ou de dépenses que nous pouvons aussi aller chercher dans leurs outils internet. Mais nous mettons en place un logiciel de gestion de parc, Infoparc, qui lui sera actif dans quelques semaines. Nous avons donc demandé aux différents prestataires de badges autoroutiers qu’ils envoient automatiquement dans ce logiciel les informations nécessaires à la gestion de ces badges. »
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