
La Renault Clio conserve ainsi de justesse la première marche du podium des ventes, en entreprises comme chez les particuliers. Un succès dû à l’homogénéité des prestations de cette cinquième génération qui s’est enrichie d’une version FHEV non prise en compte ici. L’accès à la gamme en Business débute avec le 3-cyl. essence TCe en 65 ch/117 g à 18 700 euros ; comptez 19 950 euros en 90 ch/117 g, ou 21 550 euros et 129 g en boîte auto à variateur X-Tronic. Toujours en Business, cette motorisation existe en GPL de 100 ch, à 108 g et 19 950 euros, un prix identique à celui de la version essence.
Peugeot place pour sa part sa 208 sur la...
La Renault Clio conserve ainsi de justesse la première marche du podium des ventes, en entreprises comme chez les particuliers. Un succès dû à l’homogénéité des prestations de cette cinquième génération qui s’est enrichie d’une version FHEV non prise en compte ici. L’accès à la gamme en Business débute avec le 3-cyl. essence TCe en 65 ch/117 g à 18 700 euros ; comptez 19 950 euros en 90 ch/117 g, ou 21 550 euros et 129 g en boîte auto à variateur X-Tronic. Toujours en Business, cette motorisation existe en GPL de 100 ch, à 108 g et 19 950 euros, un prix identique à celui de la version essence.
Peugeot place pour sa part sa 208 sur la seconde marche du podium. Mais la finition Business (Pack et Allure) disparaît, conformément à une politique entamée avec la récente 308 et qui se poursuivra d’ici fin 2021 pour le reste de la gamme. Les entreprises peuvent donc choisir une finition équivalente qui reprend les appellations connues Active Pack ou Allure Pack, etc., avec des prix en baisse mais des équipements en moins.
1 – Renault Clio 2 – Volkswagen Polo 3 – Seat Ibiza
Clio, 208 ou C3 ?
Pour la 208, l’accès à la gamme chute donc à 16 200 euros en Like avec le 3-cyl. 1.2 de 75 ch/119 g. En 100 ch/118-121 g en Active Pack, les prix débutent à 20 150 euros et à 21 850 euros pour 122-124 g en boîte auto. En 130 ch/121-123 g, comptez 27 400 euros en GT et obligatoirement en boîte auto.
Citroën équipe sa C3 avec ce 3-cyl. 1.2 en 83 ch/120-121 g à 18 700 euros en Feel Business, et en 110 ch/124 g à 21 350 euros en Shine Business. Ce 110 ch est aussi proposé avec la boîte auto EAT6 pour 133-134 g à 22 750 euros en Shine Business.
Toujours chez Stellantis, l’Opel Corsa se repose sur ce 3-cyl. 1.2 mais dans une version atmosphérique débutant en 75 ch/122-128 g (18 570 euros, tous les tarifs en Edition Business). Une version complétée par le 100 ch et son turbo à 124-130 g (19 720 euros) ou à 132-138 g en boîte auto (22 220 euros).
De son côté, la Volkswagen Polo a revu ses gammes et son restylage du printemps dernier lui va encore mieux. Sous le capot avant, elle est toujours emmenée par le 3-cyl. 1.0 de 80 ch/122 g pour un accès à la gamme en Business à 18 630 euros, en légère baisse, c’est à souligner. Ce moteur est complété par sa version turbo de 95 ch/118-139 g à 19 470 euros en Business, ou à 23 735 euros en Life Business avec la boîte double embrayage DSG7 pour 126-147 g. Et pour plus d’agrément de conduite, vous pouvez passer à 110 ch/126-148 g et en boîte DSG pour 24 515 euros.
Skoda vient enfin d’adopter la plate-forme de cette Polo pour sa récente Fabia qui y gagne en habitabilité, agrément de conduite et confort dynamique. On retrouve donc le 1.0 MPI en 80 ch/118-121 g à 17 305 euros en Reference Business, et en 95 ch/118-121 g à 20 415 euros en Style Business. En 110 ch/117-128 g, il débute à 19 415 euros en Style ou à 20 815 euros avec la boîte DSG7 pour 127-138 g (pas de Business pour les deux).

VW restyle ses gammes
Restylée au printemps dernier, la Seat Ibiza (4,06 m de long) n’est pas en reste avec ce 1.0, mais poussé à 80 ch/122-128 g, toujours en atmosphérique à 16 525 euros en Reference Business. L’adjonction d’un turbo développe toujours 95 ch/124-128 g pour 19 165 euros en Style Business. Et il passe à 115 ch/122-132 g pour 18 690 euros en Style mais pas en Business.
Pour sa part, la Ford Fiesta se refait une beauté pour début 2022. Cinq après sa naissance, il était temps ! Les motorisations sont reconduites mais optimisées (tarifs en Titanium Business). Avec, en accès à la gamme, le 3-cyl. 1.0 de 100 ch/118-144 g à 18 590 euros. Il est complété par sa version Flexifuel E85 de 95 ch/118 g à 19 750 euros. En 125 ch/111-138 g MHEV de 12 V carburant au super, ce 3-cyl. passe à 21 090 euros. Avec la boîte double embrayage DCT-7, ce 125 ch/117 g est facturé 22 940 euros. En 155 ch/111-113 g et boîte manuelle, il est vendu 24 200 euros mais seulement en ST-Line X. Cette Fiesta est la seule citadine toujours déclinée en 3 ou en 5 portes, au même tarif.
Dans le premium, la Mini Hatch 5 portes et l’Audi A1 bataillent pour rester compétitives et rentables. Et il n’est pas sûr qu’elles survivent à l’Euro 7 début 2024. Pour l’heure, la Mini Hatch 5 portes reprend la gamme de la 3 portes, avec le 75 ch/130-133 g en accès à 21 800 euros, et à 23 100 euros en 102 ch/130-139 g. Il est complété par le 136 ch/131-139 g à 24 800 euros et à 29 400 euros en 178 ch/146-154 g. Le pack Business Design est toujours facturé 2 500 euros et 2 300 euros pour la 178 ch.
Mini ou A1 ?
L’Audi A1 aligne des motorisations quasi identiques avec le 1.0 TFSI de 95 ch/125-134 g à 25 440 euros en Business Line (pour tous les prix). La boîte S-Tronic 7 pousse à 133-141 g et 27 340 euros. En 110 ch, ce 1.0 TFSI est à 123-132 g pour 26 360 euros, ou 132-139 g et 28 260 euros en boîte auto. Le 2.0 TFSI de 150 ch/139-144 g, obligatoirement en S-Tronic 7, tire le prix à 30 180 euros.
Hyundai mise toujours sur son best-seller i20. Le 4-cyl. 1.2 de 82 ch/119-120 g pointe à 15 950 euros. Le cœur de gamme est représenté par le 1.0 T-GDi MHEV de 48 V en 100 ch/114-118 g à 20 500 euros en Business, et à 21 800 euros pour 116-121 g en boîte double embrayage DCT-7.
Son homologue Kia Rio reprend le 1.2 de 84 ch/129-130 g, mais décliné en Active Business à 17 340 euros, contrairement à l’i20. Curieusement, le 1.0 T-GDi est aussi disponible sans l’hybridation MHEV de 48 V, ce qui diminue son prix à 18 640 euros en 100 ch mais à 125 g, toujours en Active Business ; sa version DCT-7 à 126-127 g passe à 19 940 euros. Doté du MHEV de 48 V, ce 100 ch reste à 125 g mais avec une finition bien mieux équipée (et plus lourde) en GT Line Premium Business, pour 22 840 euros. Il est aussi poussé à 120 ch, et toujours à 125 g, pour 23 550 euros, et monte à 126 g avec la boîte DCT7 à 24 440 euros, toujours en GT Line Premium Business.
Passons à Nissan dont la Micra est fabriquée en France par Renault à Flins (Yvelines), contrairement à la Clio qui est slovène. Quoi qu’il en soit, la Micra en reprend le 1.0 turbo-essence en 92 ch/123-130 g à 19 790 euros en Business Edition, et à 138-146 g avec la boîte auto XTronic.
L’offre japonaise
Restons chez les japonais avec la Mazda2, importée en revanche d’Hiroshima. Elle est emmenée par le 4-cyl. 1.5 MHEV de 90 ch/120 g à 18 350 euros, complété par sa version en boîte auto mais non hybridée de 90 ch/133 g à 24 550 euros.
Autre japonaise, la Suzuki Swift fabriquée en Inde se dote du bien connu 1.2 Dualjet MHEV de 90 ch/106-107 g à 15 790 euros, ou à 18 690 euros en boîte auto CVT avec un CO2 limité de 115-117 g. Incontournable en région montagneuse, la transmission intégrale AllGrip grimpe à 121 g seulement pour 18 690 euros.
Concluons avec la Dacia Sandero, très séduisante pour son rapport prix/prestations. Avec le 3-cyl. 1.0 de 65 ch/120 g, elle débute à 10 190 euros. Encore plus intéressant, en 100 ch fonctionnant au GPL, son CO2 est à 108 g pour 11 690 euros. Enfin, en 90 ch/120 g, elle est à 12 990 euros, ou à 14 590 euros pour 132 g en boîte auto.
Dossier - Véhicules particuliers essence : des gammes thermiques en alternative
- Segment A – Petites citadines : peau de chagrin
- Segment B – Citadines polyvalentes : un vaste choix
- Segments A-B – SUV citadins polyvalents : l’offre s’élargit
- Essai flash – Renault Captur TCe 160 ch EDC : Luxe, calme et volupté
- Segment C – Berlines compactes et breaks : un segment concurrentiel
- Essai flash – Citroën C4 PureTech 130 EAT8 : L’originalité dans la douceur
- Segment C – SUV compacts : montée en gamme