
Après les Berlingo et Jumpy, Citroën ajoute une version électrique e-Jumper au gros VUL Jumper. Tout comme pour son petit frère Jumpy récemment commercialisé et décliné en e-Jumpy (voir notre brève). La motorisation électrique est commune à l’ensemble des cousins VUL de Peugeot et Opel. Avec 120 ch/260 Nm en mode Power, 110 ch/210 Nm en mode Standard (par défaut au démarrage) et 82 ch/190 Nm en mode Eco. Dans tous les cas, la vitesse maximale est limitée à 110 km/h (90 km/h en PTAC de 4 t).
Deux types de batteries
Pour ce Citroën e-Jumper, on retrouve également deux capacités de batteries en 37 kWh ou 70 kWh. Qui assurent respectivement 200 km (carrosseries L1/L2) ou 340 km d’autonomie (châssis-cabine L2S/L3/L4) en WLTP mixte. Le temps de recharge minimum s’élève à une heure (0 à 80 %) sur des bornes super rapides jusqu’à 50 kW. En charge accélérée privée ou publique sur une Wallbox (3,7 à 22 kW), ce délai varie de cinq à douze heures. La batterie est garantie 8 ans/160 000 km pour 70 % de sa capacité de charge.
Citroën e-Jumper : des capacités inchangées
Plus gros des utilitaires de la gamme au double chevron, le Citroën e-Jumper affiche une charge utile jusqu’à 1 890 kg sur le châssis-cabine ou 1 265 kg en fourgon. Mais aussi un volume de chargement maximum de 17 m3 (équivalent à celui des versions thermiques) et un poids total autorisé en charge jusqu’à 4 t (quatre PTAC différents). Avec aussi quatre longueurs et trois hauteurs de caisse. Les prix seront dévoilés lors de sa commercialisation fin 2020.