Danièle Raffetin est responsable de l’environnement de travail chez Labelians (Groupe CML-ID).
« Chez Labelians, la car policy compte deux catégories : une pour les itinérants et l’autre pour les managers et directeurs. La frontière entre les deux est fixée par rapport aux coefficients hiérarchiques dans la convention collective. Dans chaque catégorie, nous mettons trois à quatre véhicules différents. Il y a systématiquement des breaks, parce que des conducteurs ne veulent que ce format de voiture, puis une berline et un SUV. Pour la direction, le choix comprend des voitures similaires à l’exception des breaks. Nous n’imposons pas de...
Danièle Raffetin est responsable de l’environnement de travail chez Labelians (Groupe CML-ID).
« Chez Labelians, la car policy compte deux catégories : une pour les itinérants et l’autre pour les managers et directeurs. La frontière entre les deux est fixée par rapport aux coefficients hiérarchiques dans la convention collective. Dans chaque catégorie, nous mettons trois à quatre véhicules différents. Il y a systématiquement des breaks, parce que des conducteurs ne veulent que ce format de voiture, puis une berline et un SUV. Pour la direction, le choix comprend des voitures similaires à l’exception des breaks. Nous n’imposons pas de modèles.
Je compose la car policy en fonction du TCO des véhicules. Sont intégrés dans l’indicateur la consommation de carburant, l’assurance, les mensualités du loyer, le coût des pneus et la fiscalité (bonus, TVS, etc.). Sur la base de ce TCO, les conducteurs peuvent retenir, au-delà des modèles de la liste, certaines options. Les principales sont la peinture métallisée et le crochet d’attelage. Mais nous limitons les couleurs accessibles pour disposer de voitures facilement interchangeables et sobres. D’ailleurs, des renouvellements indispensables pourront s’effectuer grâce à des réaffectations de véhicules de salariés qui quittent l’entreprise.
« Je réfléchis aux véhicules d’occasion » (Danièle Raffetin, Labelians)
Mais pour d’autres véhicules, renouveler demeure plus complexe. Pour deux ou trois collaborateurs qui ont des besoins spécifiques : grande taille, problèmes de dos, famille nombreuse, je continue d’avoir des difficultés à trouver les véhicules adéquats : même en tirant les prix, les modèles proposés n’entrent pas dans nos budgets. Je réfléchis donc à me tourner vers des véhicules d’occasion, en attendant que la crise passe. »