Et pas seulement quelques experts : de 80 à 300 personnes si l’on en croit les acteurs du secteur. Réunir ces compétences ne constitue pas un obstacle en soi, il existe de nombreux techniciens spécialisés en Europe. Et dans le contexte de cet été 2021 où les épisodes de grêle ont été nombreux, il n’a pas été simple de les trouver, d’autant que 2020 a été une année blanche pour eux, sans épisode de grêle et avec les différents confinements subis en Europe. Mobiliser ces experts en un temps très court n’en demeure pas moins un défi. Il faut donc déjà disposer d’une base importante de données sur ces techniciens susceptibles d’intervenir pour...
Et pas seulement quelques experts : de 80 à 300 personnes si l’on en croit les acteurs du secteur. Réunir ces compétences ne constitue pas un obstacle en soi, il existe de nombreux techniciens spécialisés en Europe. Et dans le contexte de cet été 2021 où les épisodes de grêle ont été nombreux, il n’a pas été simple de les trouver, d’autant que 2020 a été une année blanche pour eux, sans épisode de grêle et avec les différents confinements subis en Europe. Mobiliser ces experts en un temps très court n’en demeure pas moins un défi. Il faut donc déjà disposer d’une base importante de données sur ces techniciens susceptibles d’intervenir pour des chantiers de dégrêlage.
Mais cette année, le vrai défi s’est situé ailleurs. Car au-delà des techniciens du dégrêlage, d’autres ressources sont nécessaires en logistique, avec bien souvent des intérimaires, voire des étudiants sollicités sur de courtes durées. « En période estivale, il y a toujours des difficultés pour recruter. Mais cette année, la situation a été plus complexe que d’habitude. Compte tenu des confinements que nous avons connus, les jeunes que nous embauchons d’ordinaire pour ce soutien veulent prendre des vacances et répondent moins présents », explique Christophe Nosjean pour France Débosselage.