Dématérialisation : le rythme s’accélère

Alors que la facture électronique se généralise, les entreprises en profitent pour réaliser des gains de productivité sur les tâches administratives et pour minimiser les risques d’erreur. Derrière cette digitalisation des échanges se profile la dématérialisation fiscale. Mais des freins subsistent et devront être levés avant que cette dernière ne s’impose.
- Magazine N°223
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Dématérialisation : le rythme s’accélère

L’État et son administration montrent la voie : pour tous leurs prestataires directs, la facturation électronique sera obligatoire pour les plus grandes entreprises à partir de 2017, de 2018 pour les établissements de taille intermédiaire (ETI), de 2019 pour les PME et de 2020 pour les TPE.

« La facture électronique est le principal chantier des acteurs de la dématérialisation, elle constitue un enjeu stratégique sur lequel il est primordial de communiquer en interne », estime Sylvain Ducrocq, consultant en dématérialisation au sein de Comarch, spécialiste des solutions informatiques pour les entreprises.

Si, du côté des consommateurs, les...