« À l’origine, nous avions différents bâtiments avec différents services qui disposaient chacun de véhicules », retrace Romain Meyer. Depuis quatre ans, le conseil général a établi des « parcs relais ». Le nombre de voitures dans ces parcs peut monter jusqu’à une vingtaine, le plus souvent réunies autour d’un bâtiment. « Les agents, toutes directions confondues, recourent aux véhicules de ces pools. Cela a permis de les faire fonctionner dans des conditions optimisées et, par la même occasion, de baisser le nombre de véhicules sur ces sites, d’environ une quinzaine d’unités ».
Cette mise en pool se généralise jusque sur des sites qui peuvent...
« À l’origine, nous avions différents bâtiments avec différents services qui disposaient chacun de véhicules », retrace Romain Meyer. Depuis quatre ans, le conseil général a établi des « parcs relais ». Le nombre de voitures dans ces parcs peut monter jusqu’à une vingtaine, le plus souvent réunies autour d’un bâtiment. « Les agents, toutes directions confondues, recourent aux véhicules de ces pools. Cela a permis de les faire fonctionner dans des conditions optimisées et, par la même occasion, de baisser le nombre de véhicules sur ces sites, d’environ une quinzaine d’unités ».
Cette mise en pool se généralise jusque sur des sites qui peuvent ne compter que deux véhicules. Les réservations se font simplement à partir d’un logiciel de gestion de ressources, développé en interne. De leurs ordinateurs, les agents peuvent consulter les disponibilités et réserver.
Photo : Romain Meyer, chef de service du garage départemental