Pascal Coran, Crédit Agricole : « L’automatisation me déleste d’une charge de travail »
Le Crédit Agricole désigne les conducteurs de ses 400 véhicules depuis plus de quinze ans. Mais l’automatisation du traitement des amendes n’est en place que depuis août 2017.
Pascal Coran est responsable flotte automobile au Crédit Agricole.
« L’automatisation du traitement des amendes avec l’Antai fonctionne très bien. Le système me déleste d’une charge de travail : désormais, je consacre zéro minute par amende, contre dix à quinze minutes auparavant. Le système est transparent : je regarde tous les matins sur le logiciel le nombre d’amendes à traiter et vérifie que toutes les informations nécessaires à la désignation sont entrées. Ensuite, il n’y a plus rien à faire : tout est automatique car chaque véhicule est attribué à un conducteur et toutes les informations le concernant sont entrées à l’avance dans le...
Pascal Coran est responsable flotte automobile au Crédit Agricole.
« L’automatisation du traitement des amendes avec l’Antai fonctionne très bien. Le système me déleste d’une charge de travail : désormais, je consacre zéro minute par amende, contre dix à quinze minutes auparavant. Le système est transparent : je regarde tous les matins sur le logiciel le nombre d’amendes à traiter et vérifie que toutes les informations nécessaires à la désignation sont entrées. Ensuite, il n’y a plus rien à faire : tout est automatique car chaque véhicule est attribué à un conducteur et toutes les informations le concernant sont entrées à l’avance dans le logiciel, y compris le numéro de permis et l’adresse personnelle.
45 jours pour désigner
L’Antai m’envoie tous les jours un fichier indiquant les erreurs bloquantes et non bloquantes parmi les renseignements transmis. Par exemple, si le numéro de permis du collaborateur n’est pas indiqué dans le logiciel, l’Antai m’envoie une notification chaque jour pendant 45 jours pour me demander de le compléter. Dépassé ce délai, je reçois l’amende en format papier et j’ai de nouveau 45 jours pour désigner. Aujourd’hui, je ne reçois des amendes papier qu’en cas de livraison-restitution, lorsqu’un collaborateur commet une infraction avant que j’aie eu le temps d’entrer le nouveau véhicule dans le logiciel.
Côté coût, la solution tend vers le zéro euro. Nous payons à l’éditeur un abonnement mensuel par véhicule pour son intégration dans le logiciel de gestion de parc. Nous n’avons donc pas de surcoût pour la solution de traitement automatisé des amendes, contrairement aux offres des loueurs qui effectuent une facturation par amende. Et nous n’avons pas eu de problème avec nos deux loueurs pour prendre la main sur les transferts avec l’Antai. »
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