En l’absence de carrosserie, seul un bon équipement peut assurer la protection indispensable lors d’une chute, même légère. Et c’est aussi un facteur de confort, pour une conduite sereine.Le casque reste l’unique élément obligatoire et il est à choisir avec soin. Entre 90 et plus de 400 euros, mieux vaut investir dans un modèle confortable et durable. Les casques ouverts, dits « jets », sont les plus abordables et peuvent suffire à un usage urbain, mais il faut choisir un modèle avec une visière qui protège les yeux.
Pour un usage routier, le classique casque intégral offre la meilleure protection. Mais en ville, l’impression d’enfermement et...
En l’absence de carrosserie, seul un bon équipement peut assurer la protection indispensable lors d’une chute, même légère. Et c’est aussi un facteur de confort, pour une conduite sereine.Le casque reste l’unique élément obligatoire et il est à choisir avec soin. Entre 90 et plus de 400 euros, mieux vaut investir dans un modèle confortable et durable. Les casques ouverts, dits « jets », sont les plus abordables et peuvent suffire à un usage urbain, mais il faut choisir un modèle avec une visière qui protège les yeux.
Pour un usage routier, le classique casque intégral offre la meilleure protection. Mais en ville, l’impression d’enfermement et l’angle de vision plus limité ne le rendent pas idéal. Un bon compromis est représenté par les casques modulables qui se transforment en jet ou en intégral, d’un geste.
Les modèles plus classiques ont une mentonnière qui se relève au-dessus de la tête, très pratique à utiliser, mais ces casques sont lourds et manquent d’aérodynamisme en position ouverte. D’autres ont une mentonnière qui pivote pour s’intégrer derrière le casque, d’autres encore proposent une solution avec une mentonnière amovible et un écran panoramique. Et avant tout, il est conseillé d’essayer le casque avant de l’adopter.
Indispensable à défaut d’être obligatoire, une veste protectrice assure sécurité et confort ; de nombreux modèles se veulent aujourd’hui élégants, intégrant discrètement protections des épaules, des coudes et du dos (500 à 400 euros). Pour une sécurité maximum, la veste peut se compléter par un gilet airbag qui déclenchera en cas de chute des poches d’air autour des cervicales et du dos, voire du coccyx (400 à 900 euros).
Autre pièce maîtresse, les gants (50 à 130 euros) doivent être spécifiques pour l’usage en deux-roues (homologation CE ou EPI).
Pour le bas du corps, il existe des pantalons qui protègent sans tomber dans le look motard, dont des jeans renforcés efficaces. Question chaussures, des modèles en cuir à tige haute offrent un minimum de protection, et il existe des modèles spécifiques homologués.
Enfin, la protection contre les intempéries peut s’assurer de différentes manières : un pantalon de pluie ou une combinaison s’enfilent facilement dès les premières gouttes, mais il est possible aussi d’équiper son scooter avec un tablier (100 à 150 euros) qui couvrira les jambes et les maintiendra au chaud en hiver, tandis qu’un pare-brise haut arrêtera les gouttes et le vent froid.
Cet équipement sera également à compléter d’un antivol, les modèles rigides en forme de « U » étant les plus solides (100 à 150 euros). Un élément important pour un deux-roues, que les assureurs ne manqueront pas de rappeler au moment de signer la police.