
La première vise avant tout à éviter le pire, en mettant en œuvre tous les éléments pouvant éloigner le risque d’accident ou, plus simplement, de perte de contrôle du véhicule. Pour y parvenir, en plus des qualités intrinsèques d’un modèle (châssis, liaisons au sol et freinage), la sécurité active fait désormais appel à un arsenal d’aides à la conduite qui ne cesse de s’étoffer au rythme des progrès accomplis par l’électronique.
La sécurité passive a pour sa part l’objectif de limiter les dommages corporels lors d’une collision. Les coussins gonflables, plus connus sous le nom d’airbags, s’y emploient par exemple depuis plus de 35 ans, à grand renfort de calculateurs et de capteurs. Mais ils ne sont pas les seuls à prendre soin de l’intégrité physique des personnes transportées : les ceintures de sécurité et les structures déformables contribuent également à minimiser les conséquences d’un accident – tout comme les casques pour les deux-roues.
Un organisme indépendant s’est donné pour mission d’évaluer ces équipements de sécurité à grand renfort de crash-tests. L’agence EuroNCAP (European New Car Assessment Program) fait ainsi autorité dans son domaine.
Matérialisés par des étoiles, les résultats de ses expertises se trouvent relayés par les acteurs de l’industrie automobile qui se plient à ses analyses et à ses avis.
CAHIER PRATIQUE : les équipements de sécurité des VP
- CAHIER PRATIQUE : LES ÉQUIPEMENTS DE SÉCURITÉ DES VP
- Deux sécurités valent mieux qu’une
- Des équipements déjà obligatoires
- Des équipements bientôt obligatoires
- Un objectif : épargner des vies
- Une avalanche d’équipements
- La sécurité en toute autonomie
- Quid des autres véhicules ?
- La sécurité, une réflexion globale