Plus intéressant encore, leur promesse d’évasion n’est plus obligatoirement synonyme de dépense excessive. Pionnier du genre, le Duster de Dacia a défriché le terrain en mettant ses étonnantes capacités et son étonnante fiabilité au service du plus grand nombre, grâce à des tarifs très modérés.
Après quatre ans de succès et un premier facelift, ce Duster se veut toujours aussi abordable. Il n’y a guère que sa consommation qui se montre encore excessive, plombant un peu l’ambiance et les comptes. Mais pour visiter des chantiers, il n’y a pas meilleur allié. Associé au 1.5 dCi 90 ch pour 123 g de CO2, la gamme débute en 4×2 à partir...
Plus intéressant encore, leur promesse d’évasion n’est plus obligatoirement synonyme de dépense excessive. Pionnier du genre, le Duster de Dacia a défriché le terrain en mettant ses étonnantes capacités et son étonnante fiabilité au service du plus grand nombre, grâce à des tarifs très modérés.
Après quatre ans de succès et un premier facelift, ce Duster se veut toujours aussi abordable. Il n’y a guère que sa consommation qui se montre encore excessive, plombant un peu l’ambiance et les comptes. Mais pour visiter des chantiers, il n’y a pas meilleur allié. Associé au 1.5 dCi 90 ch pour 123 g de CO2, la gamme débute en 4×2 à partir de 13 500 euros.
Mais parmi les SUV, l’événement réside dans l’arrivée prochaine de la C4 Cactus. Avec ce modèle, Citroën revisite avec talent et beaucoup d’originalité l’approche du crossover en fournissant, dans moins de 4,20 m, un concentré de bonnes idées. De l’ingéniosité, mais aussi une sobriété exemplaire avec, notamment, la présence au catalogue d’une version BlueHDi 100 ch à seulement 87 g et prochainement commercialisée à partir de 18 900 euros.
Dans un encombrement identique, mais avec une interprétation plus classique, le 2008 de Peugeot explore aussi l’univers des crossovers, à partir de 16 900 euros en 1.4 HDi de 68 ch et 104 g. Avec le 1.6 e-HDi de 92 ch, le 2008 se veut plus tonique pour des émissions similaires à 103 g et à partir de 19 950 euros.
Le Captur et le 2008 aux avant-postes
Mais à ce niveau de puissance, le Captur de Renault se révèle moins cher en entrée de gamme, avec un 1.5 dCi Energy de 90 ch à seulement 96 g, accessible à partir de 18 100 euros. Le Captur se fait aussi plus charmeur dans son style et l’on choisit généralement un SUV ou un crossover pour rouler autrement.
L’exotisme assumé de formes audacieuses, c’est justement ce qui caractérise le Juke de Nissan qui connaît un joli succès sous nos latitudes. Avant un léger lifting prévu cet été, son 1.5 dCi dans une configuration 110 ch à 109 g est disponible à partir de 19 090 euros.
S’offrir un parfum d’aventure dans des formats plus imposants oblige à franchir allégrement la barre des 20 000 euros. À de très rares exceptions, les émissions s’envolent également au-delà du raisonnable. De quoi saluer la performance récemment établie par Nissan avec son nouveau Qashqai qui s’affiche à 99 g accompagné du 1.5 dCi en 110 ch (à partir de 23 990 euros). Dans le même ordre d’idée, l’arrivée d’une version 1.6 DTEC 120 ch à 119 g du très grand et fort accueillant CR-V de Honda est tout aussi remarquable (à partir de 27 220 euros).
