« Cette offre permet de proposer des solutions adaptées à l’évolution de la demande des grandes villes pour la gestion du dernier kilomètre de livraison. Et pour les clients, les 10 000 euros de bonus et de prime à la conversion cumulés constituent une réelle opportunité », poursuit le responsable de Renault.
De fait, les constructeurs misent sur les restrictions de circulation annoncées dans les centres urbains pour développer l’électrique. Dans ce cadre, Volkswagen parie sur son futur e-Crafter doté de 200 km d’autonomie NEDC. « Ce modèle a été notamment pensé pour réaliser le dernier kilomètre en tout-électrique dans les centres urbains...
« Cette offre permet de proposer des solutions adaptées à l’évolution de la demande des grandes villes pour la gestion du dernier kilomètre de livraison. Et pour les clients, les 10 000 euros de bonus et de prime à la conversion cumulés constituent une réelle opportunité », poursuit le responsable de Renault.
De fait, les constructeurs misent sur les restrictions de circulation annoncées dans les centres urbains pour développer l’électrique. Dans ce cadre, Volkswagen parie sur son futur e-Crafter doté de 200 km d’autonomie NEDC. « Ce modèle a été notamment pensé pour réaliser le dernier kilomètre en tout-électrique dans les centres urbains. Nous allons le présenter et le faire essayer cette année auprès de quelques flottes stratégiques dont les clients de la messagerie », annonce Frédéric Durant, directeur des ventes pour
Volkswagen VU.
Chez Mercedes, un VUL tout-électrique est attendu en 2018. « Avec les énergies alternatives, Mercedes-Benz veut se développer sur les trois segments du marché. Poussés par la livraison du dernier kilomètre avec la vente en ligne, les transporteurs express sous-traitent en effet les livraisons à des prestataires qui ont besoin de s’équiper, entre autres pour accéder aux centres urbains. Sur le segment du transport express du dernier kilomètre, nos ventes de Sprinter ont progressé de 87 % en 2016 », avance Jean Chavane, responsable national ventes flottes VU.
Le constat se veut assez semblable pour Hugues de Laage de Meux, de Peugeot : « Nous avons commercialisé 450 Partner VU Electric en 2016, contre 125 en 2015. Un résultat dû au travail mené sur le terrain avec l’aide de nos trois coachs VE auprès des concessionnaires. En parallèle, nous avons vendu 1 250 iOn, en majorité auprès de particuliers. »
Ce représentant de Peugeot ajoute : « Avec les changements de la fiscalité, nous notons une amplification des ventes de modèles essence et électriques, une évolution déjà en cours en 2016. Ainsi, nous avons vendu des modèles électriques à de petites entreprises ou à des artisans. De même, de grands comptes s’intéressent au Partner VU Electric. Ce mouvement est aussi poussé par les politiques menées en Île-de-France. » Chez Peugeot, une gamme électrique enrichie est attendue en 2019-2020.
