L’EPSAN est à la tête de 133 véhicules dont cinq PL, un minibus de vingt places et 25 Master ou Trafic dont certains aménagés PMR. Dès 2003, les véhicules ont été mis en pool sauf ceux des services techniques et logistiques. « Pour faciliter les trajets et les réservations et contenter le plus grand nombre d’agents, nous avons décidé de décentraliser la gestion au sein de chaque pôle qui connaît mieux les besoins. Les agents sont en relation directe avec les cadres de santé pour l’utilisation des véhicules », explique Grégory Goetz, responsable du service intérieur.
Un recours aux groupements d’achat
Toujours pour limiter la note, l’EPSAN a...
L’EPSAN est à la tête de 133 véhicules dont cinq PL, un minibus de vingt places et 25 Master ou Trafic dont certains aménagés PMR. Dès 2003, les véhicules ont été mis en pool sauf ceux des services techniques et logistiques. « Pour faciliter les trajets et les réservations et contenter le plus grand nombre d’agents, nous avons décidé de décentraliser la gestion au sein de chaque pôle qui connaît mieux les besoins. Les agents sont en relation directe avec les cadres de santé pour l’utilisation des véhicules », explique Grégory Goetz, responsable du service intérieur.
Un recours aux groupements d’achat
Toujours pour limiter la note, l’EPSAN a aussi diversifié ses cartes carburant : « Nous passions historiquement par Total. Dorénavant, un second prestataire, Edenred, a été choisi. Selon la localisation des véhicules, ils seront dotés d’une des cartes. En outre, nous faisons dorénavant appel aux groupements d’achat de type Ugap, UniHA ou Resah (pour les acheteurs hospitaliers), ce qui réduit aussi les coûts », note Carine Rose, responsable achats et patrimoine.