D’abord, le Q7 a perdu ce tempérament un peu « empatté » qui plombait l’agrément de son prédécesseur. Avec 325 kg de moins, on le découvre dynamique et respectueux de la trajectoire, surtout si l’on retient au catalogue l’option des quatre roues directrices.
Cet allègement conséquent a également permis de réduire la voilure en motorisation ou plutôt d’abaisser la consommation, indispensable au regard du format XXL. Le Q7 parvient ainsi à aligner une version à 144 g de son V6 3.0 TDI ultra de 218 ch, un ramage suffisant pour profiter des bienfaits de ce géant qui, contre majoration du tarif, parvient à assumer sa progression.
Comme toujours,...
D’abord, le Q7 a perdu ce tempérament un peu « empatté » qui plombait l’agrément de son prédécesseur. Avec 325 kg de moins, on le découvre dynamique et respectueux de la trajectoire, surtout si l’on retient au catalogue l’option des quatre roues directrices.
Cet allègement conséquent a également permis de réduire la voilure en motorisation ou plutôt d’abaisser la consommation, indispensable au regard du format XXL. Le Q7 parvient ainsi à aligner une version à 144 g de son V6 3.0 TDI ultra de 218 ch, un ramage suffisant pour profiter des bienfaits de ce géant qui, contre majoration du tarif, parvient à assumer sa progression.
Comme toujours, l’expérience de la conduite autonome est suffisamment déroutante pour éviter de systématiser sa présence.<