Toujours est-il que sa dernière génération a quelque peu « poussé les murs », et sa déclinaison électrique profite à plein de son évolution. Le séjour à bord n’en est que plus agréable. Le comportement suit le mouvement avec de nouveaux soubassements. Quant au confort, il progresse pareillement.
Notons que les ingénieurs considèrent qu’il n’est pas nécessaire d’étendre l’autonomie de cette Fortwo au-delà de 160 km. Il est certain qu’embarquer une batterie de plus grande capacité, c’est de l’espace vital et de l’agilité en moins.
Dernier point sur lequel il n’est pas question de transiger : la Fortwo EQ fait demi-tour dans un mouchoir, avec...
Toujours est-il que sa dernière génération a quelque peu « poussé les murs », et sa déclinaison électrique profite à plein de son évolution. Le séjour à bord n’en est que plus agréable. Le comportement suit le mouvement avec de nouveaux soubassements. Quant au confort, il progresse pareillement.
Notons que les ingénieurs considèrent qu’il n’est pas nécessaire d’étendre l’autonomie de cette Fortwo au-delà de 160 km. Il est certain qu’embarquer une batterie de plus grande capacité, c’est de l’espace vital et de l’agilité en moins.
Dernier point sur lequel il n’est pas question de transiger : la Fortwo EQ fait demi-tour dans un mouchoir, avec 6,95 m de diamètre de braquage, et sa vivacité impressionne grâce aux 60 kW (81 ch) d’un moteur dérivé de celui de la Zoé. Si l’autonomie n’évolue guère, les temps de recharge diminuent, tout en s’accordant la faculté de se raccorder à tout ce qui existe sur le marché, borne rapide inclue.