
Ce qui sied beaucoup mieux à ce best-seller. Un « Sport Utility Vehicle » que Toyota préfère classer à juste titre dans la catégorie des « crossover », tant son design de coupé 4 portes l’en rapproche. D’ailleurs, C-HR signifie « Coupé High Rider », une caractéristique que l’on retrouve dans son accessibilité peu aisée et son habitabilité réduite aux places arrière.
Le nouveau moteur hybride 2.0 essence partagé avec la Corolla donne des ailes au C-HR qui, auparavant, se lamentait en hurlant sa peine – à travers sa transmission CVT à variateur continu. Cela est bien fini, la performance est au rendez-vous sans hésitation et ce C-HR devient enfin agréable et alerte à conduire.
Le tout sans augmentation notable de sa consommation moyenne, le CO2 passant de 109 g en 122 ch à 119 g, toujours bien placé pour la fiscalité, et son surcoût n’est que de 2 000 euros (32 500 euros en Dynamic Business).
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