C’est le bruit du compresseur qui « gave » la pile à combustible d’oxygène afin de provoquer la réaction chimique avec l’hydrogène pour en extraire ces ions si précieux. Un peu comme une soupape de décharge sur un moteur turbo de première génération. Plutôt sympathique car les performances sont au rendez-vous et un essai sur les routes rapides du Luberon nous ont permis de constater que cette Mirai soutenait la cadence sans broncher.
500 km NEDC d’autonomie
Elle sera seulement limitée par ses liaisons au sol, calibrées pour un confort souple en ville et moins pour une conduite sportive. Mais avec une conduite plus civile, l’autonomie indiquée...
Dossier - Véhicules hydrogène : la longue marche des constructeurs
- Véhicules hydrogène : la longue marche des constructeurs
- Le fonctionnement d’un véhicule à PAC
- Essai flash >> Toyota Mirai : la plus aboutie mais la plus chère
- Le réseau de recharge, talon d’Achille de la PAC
- Essai flash >> Hyundai ix35 FCEV : en attendant le Nexo