
On retrouve la classique carrosserie du Primavera, avec donc un moteur électrique en lieu et place du bloc thermique. Résultat, un mignon scooter zéro émissions, avec un moteur pas complètement silencieux (un léger sifflement accompagne son fonctionnement) et aux performances modestes à l’accélération par rapport à ses concurrents. Heureusement, malgré un poids en hausse de 25 kg par rapport à la version thermique, son bel équilibre contribue à l’excellente maniabilité de l’engin.
Mais avec son tarif très gourmand de 6 390 euros (hors aides), cette petite Vespa pâtit d’un rapport prestations-prix difficile à justifier par son simple design, d’autant que certains détails déçoivent comme l’écran de bord couleur au format trop petit ou les boutons de commande très basiques. Non amovible, sa batterie autorise une autonomie de 80 à 100 km selon le mode de conduite. À noter, une version avec prolongateur d’autonomie (essence) rejoindra la gamme à terme.