
De quoi effrayer quelque peu les gestionnaires de parc. Depuis, cet ensemble PHEV est proposé en 340 ch, une puissance plus raisonnable avec un moteur électrique qui développe toujours 87 ch. De son côté, le 2.0 turbo-essence ne délivre plus « que » 252 ch au lieu des 303 ch du T8. Au passage, le prix perd 3 000 euros.
Des prestations dynamiques sans concession
À l’usage, il faut bien avouer que les différences au volant restent minimes, les performances demeurant de haut niveau et, tout le moins, largement suffisantes pour des prestations dynamiques sans concession. Le comportement sur la route se veut très rassurant et jamais pris en défaut alors que le confort se montre digne des grandes berlines de la marque. Le premium dont se revendique Volvo n’est pas un vain mot.
La consommation en bémol
Seul bémol : la consommation moyenne est identique à celle de la version T8 de 390 ch, entre 8,0 et 9,0 l/100 km en fonction de votre conduite. En revanche, si vous rechargez souvent, elle baissera mais l’autonomie en mode électrique reste limitée à une quarantaine de kilomètres, pas plus.
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