
Et comme son réservoir était plus petit que celui des modèles essence ou diesel (50 l au lieu de 70 l) pour laisser la place à la batterie, l’autonomie réelle atteignait au maximum 400 km. En réalité, c’est la batterie qui péchait par sa faible capacité (10,4 kWh mais moins de 10 kWh en réalité) et l’autonomie électrique ne dépassait pas les 35 km. Volvo a donc remis sur l’établi son ouvrage et la batterie passe à 11,6 kWh effectifs pour 44 km d’autonomie réelle, alors que la puissance du moteur essence redescend à 303 ch au lieu de 320 ch. Ce qui favorise la sobriété sans différence notable sur nos autoroutes et routes à vitesse limitée, avec au cumul 386 ch au lieu de 407 ch précédemment. Et le réservoir retrouve ses 70 l d’origine. Bref, ceci autorise un CO2 de 42 à 52 g en NEDC corrélé, et de 53 à 69 g en WLTP. L’exonération partielle ou totale de la TVS dépendra donc du choix des bonnes tailles de roue et des équipements de série au 1er janvier 2020.
Dossier - Hybrides et hybrides rechargeables : le vent en poupe
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