
La Peugeot 208 fait valoir son offre de motorisations, surtout en essence à partir du 3-cyl. 1.2 turbo disponible en 75 ch un peu sous-motorisé, en 100 ch essayé ici et qui lui va comme un gant, et en 130 ch, ajoutant la sportivité mais aussi le prix.
Cette citadine polyvalente avoue alors une consommation un peu trop élevée en raison de sa puissance mais aussi de sa boîte automatique obligatoire. C’est donc ce PureTech 100 ch en boîte manuelle (+ 1 700 euros en EAT8) qui se montre le plus homogène et surtout bien moins cher que le diesel de puissance équivalente (+ 1 500 euros en Active Business).
L’Allure Business sans hésitation
Ce 3-cyl. essence fait preuve d’une belle progressivité et d’un fonctionnement assez linéaire et discret, une fois le grondement passé dû à sa si typique architecture. Mais par rapport à la Clio, la qualité des plastiques et leur assemblage se révèlent de moins bonne facture en finition Active d’accès à la gamme. Ajoutez 1 950 euros sans hésitation pour l’Allure Business.
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