
Tout comme son cousin le Dacia Duster (voir notre essai), le Renault Captur s’équipe du 3-cyl. essence de 90 ch et 160 Nm de couple, qui fonctionne aussi au GPL. Dans ce dernier mode, la puissance passe alors à 100 ch pour une capacité de traction de 170 Nm, que l’on ressent nettement sur la route. Les accélérations et les reprises se font en effet bien plus franches, du fait d’une combustion du gaz bien plus « explosive ». Une nervosité bienvenue mais qui se traduit par un fonctionnement plus brutal avec des à-coups au démarrage, doublés d’un stop&start capricieux, et un niveau de bruit plus élevé.
Notre essai du Renault Captur GPL : 300 km d’autonomie
Surtout, la consommation moyenne, avec 7,5 l/100 km en mode essence selon nos mesures sur 500 km mêlant autoroutes, routes et ville, fait un bond à 10,0 l/100 km en GPL sur le même parcours. Dommage également que le réservoir de GPL, qui remplace la roue de secours, ne contienne que 32 l, soit une autonomie de 300 km au grand maximum. Mais à 0,9 euro le litre, avec une homologation à 119 g (exonération de TVS sur 36 mois) et un prix inférieur de 4 450 euros TTC par rapport au Captur HEV à 107 g, on reste toujours gagnant ! À condition de rouler au GPL bien entendu.
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