« J’interroge fréquemment les constructeurs (Peugeot, Citroën, VW) afin de voir ce qu’ils peuvent nous offrir en passant directement par leur captive. L’objectif est de fiabiliser et d’étoffer les relations », note la directrice des achats de SGS, spécialiste de l’inspection, du contrôle, de l’analyse et de la certification. La car policy a évolué il y a deux ans et va de nouveau évoluer l’an prochain : « Nous avons fait entrer de nouveaux modèles, notamment pour les catégories moyennes. Dans le détail, une vingtaine de personnes dans le groupe ont droit à tout ; le niveau hiérarchique en dessous a droit à Renault, avec un montant à ne pas...
« J’interroge fréquemment les constructeurs (Peugeot, Citroën, VW) afin de voir ce qu’ils peuvent nous offrir en passant directement par leur captive. L’objectif est de fiabiliser et d’étoffer les relations », note la directrice des achats de SGS, spécialiste de l’inspection, du contrôle, de l’analyse et de la certification. La car policy a évolué il y a deux ans et va de nouveau évoluer l’an prochain : « Nous avons fait entrer de nouveaux modèles, notamment pour les catégories moyennes. Dans le détail, une vingtaine de personnes dans le groupe ont droit à tout ; le niveau hiérarchique en dessous a droit à Renault, avec un montant à ne pas dépasser et la possibilité de choisir VW », précise Hayette Bouguerouche.

« Aucun modèle de notre parc ne dépasse 127 g de CO2. L’objectif est bien de limiter l’impact de la fiscalité, dans un contexte de réduction des émissions. » Hayette Bouguerouche, directrice des achats, SGS.
Pour Jean Ménétrier, responsable des achats chez Assystem France, l’heure est aux questions sur les couples duréekilomètres pour ses 1 300 véhicules. Spécialiste de l’ingénierie et du conseil industriel en innovation, Assystem France a des activités réparties dans un grand nombre de secteurs : aéronautique, spatial, énergie, automobile, chantiers navals, sciences de la vie. Depuis un an, le groupe a confié à ALD Automotive et ING Car Lease la gestion de sa flotte (modèles 5 portes pour les collaborateurs et véhicules de services deux places). « Pendant la crise, nous sommes passés de 36 à 48 mois et 30 000 km/an. Nous renouvelons un quart du parc annuellement. Mais nous nous interrogeons sur la pertinence de maintenir ces durées. Compte tenu de la fiscalité, ne vaudrait-il pas mieux revenir à 36 mois pour bénéficier de nouvelles motorisations ? », se demande Jean Ménétrier. Quant à la révision de la car policy, elle a lieu tous les 18 à 24 mois.