Les recycleurs partenaires, après avoir vérifié l’état et le conditionnement des batteries, se chargent de la collecte et du transport du matériel à recycler. Les batteries sont identifiées grâce aux informations livrées par l’entreprise et présentes sur les étiquettes (code-barres et QR-code), puis enregistrées dans les systèmes informatiques. Elles sont ensuite démontées.
Lors de cette étape, les éléments qui les composent sont séparés et triés en fonction de leur typologie (matière, taille). Les boîtiers, connecteurs, fils, cartes électroniques partent vers une filière spécifique, de même pour les emballages (bois des palettes, cartons,...
Les recycleurs partenaires, après avoir vérifié l’état et le conditionnement des batteries, se chargent de la collecte et du transport du matériel à recycler. Les batteries sont identifiées grâce aux informations livrées par l’entreprise et présentes sur les étiquettes (code-barres et QR-code), puis enregistrées dans les systèmes informatiques. Elles sont ensuite démontées.
Lors de cette étape, les éléments qui les composent sont séparés et triés en fonction de leur typologie (matière, taille). Les boîtiers, connecteurs, fils, cartes électroniques partent vers une filière spécifique, de même pour les emballages (bois des palettes, cartons, plastiques, films, etc.). Quant aux modules et/ou cellules, ils sont destinés au traitement thermique. On les place dans des fours spécifiques pour séparer les éléments organiques tels que les plastiques, et supprimer les électrolytes. Les matériaux obtenus sont des métaux en mélange (fer, nickel, cobalt, aluminium, cuivre, lithium, cadmium) qui sont ensuite introduits dans une unité de tri/séparation pour un traitement mécanique. La machine, en fonction de la granulométrie et du magnétisme, trie alors les métaux par fractions.
Enfin, les fractions les plus fines et les plus riches en métaux peuvent encore subir un traitement hydro-métallurgique afin d’obtenir des produits ultra raffinés comme l’oxyde de cobalt ou le carbonate de lithium.