
Une raison à cela : par définition, les flottes ne sont pas monolithiques, elles évoluent au fil du temps, s’élargissent ou se réduisent, en intégrant des modèles différents dans leurs usages et leur gestion. Ce qui suppose d’adapter le financement au cas par cas, ou au moins par typologie de véhicules.
Un constat que ne démentiront pas les spécialistes interrogés dans ce dossier, qui prônent tous une règle : le pragmatisme. Avec une exception, puisqu’il en faut une, le secteur public. Qui a réaffirmé le rôle central de l’acquisition comme mode de financement unique, dans un contexte spécifique d’optimisation des flottes et de maîtrise des coûts.
Financement : un choix pragmatique
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