« Grâce à l’outil de gestion du prestataire en fleet management, nous bénéficions d’une vision d’ensemble du parc. Mais aussi d’un suivi détaillé des contrats, des avenants, des kilométrages. Cet outil de gestion centralise toutes les informations. C’est tout à fait positif. Pour les consommations et kilométrages, nous disposons ainsi d’une seule source au lieu de quatre remontées de données par nos quatre loueurs », explique Stéphane Antoinat pour Sanofi France.
« Quand un gestionnaire reçoit des états de parc par plusieurs loueurs, c’est souvent sous des formats différents, complète Bertrand Lamarche pour Traxall. Avec le fleet management,...
« Grâce à l’outil de gestion du prestataire en fleet management, nous bénéficions d’une vision d’ensemble du parc. Mais aussi d’un suivi détaillé des contrats, des avenants, des kilométrages. Cet outil de gestion centralise toutes les informations. C’est tout à fait positif. Pour les consommations et kilométrages, nous disposons ainsi d’une seule source au lieu de quatre remontées de données par nos quatre loueurs », explique Stéphane Antoinat pour Sanofi France.
« Quand un gestionnaire reçoit des états de parc par plusieurs loueurs, c’est souvent sous des formats différents, complète Bertrand Lamarche pour Traxall. Avec le fleet management, il reçoit un seul reporting pour l’ensemble des véhicules, dans un format unique peut s’intégrer dans son outil comptable. Le comptable n’a plus à tout ressaisir et à effectuer des calculs chronophages, notamment pour récupérer la TVA. Et notre outil peut imputer les dépenses en fonction du centre de coût auquel le conducteur est rattaché », poursuit ce responsable.
Ask ne procède pas autrement. « Le gestionnaire reçoit à la fois un point global mais aussi véhicule par véhicule. Ce point concerne le kilométrage, les surconsommations éventuelles, les échéances à venir, expose Fabien Dieu. Notre outil se connecte avec l’application conducteur. Ainsi, ce dernier connaît aussi son kilométrage et sa consommation. Mais également le temps restant avant le prochain entretien, etc. » Et précise que l’outil notifie « à la fois les consommations et les émissions de CO2. Il vaut mieux alerter le collaborateur sur une surémission. Et lui signaler qu’il peut réduire son empreinte carbone, plutôt que de mettre l’accent sur une surconsommation. C’est plus efficace », complète Fabien Dieu.
Côté factures, le client d’un fleeteur reçoit les factures du loueur, du prestataire de cartes carburant, du pneumaticien, etc. Seule exception, Fatec règle pour le compte du client. Il envoie ensuite une facture globale avec l’entretien, les pneus. Et ce, lorsque ce client opte pour la gestion technique. « Certains nous demandent même de régler pour eux les cartes carburant. Voire l’installation de bornes de recharge au domicile des collaborateurs », note Pascal Pilleyre.
Enfin, la plupart des fleeteurs disposent d’un configurateur. L’ensemble des paramètres, des modèles, des options y sont intégrés pour chaque catégorie de la car policy. Ce qui permet d’automatiser mais aussi de mieux cadrer les choix de véhicules. « Notre outil, pointe Bertrand Lamarche pour Traxall, intègre un “profiler“. En quelques questions, ce profiler oriente le collaborateur vers la motorisation la plus adaptée à ses usages. Selon la politique du client, nous avons ainsi la possibilité d’imposer une motorisation électrique ou juste d’orienter. »