
Alfa Romeo n’y va pas par quatre chemins et ne veut pas brader, loin de là, son SUV porte-drapeau qui reprend la plate-forme de la Giulia, ses motorisations et ses transmissions (4,69 m de longueur, 1,90 m de largeur et 1,67 m de hauteur). Raison pour laquelle ce SUV est une propulsion Q4 avec transfert sur le train avant de 50 % de la puissance en cas de perte d’adhérence.
On retrouve donc au lancement le « gros » 2.2 turbodiesel de 210 ch et sa boîte auto ZF 8 rapports (4,8 l/100 km et 127 g/km de CO2) en finition Super à 49 200 euros et 53 500 euros en Lusso. Des prix comparables à l’Audi Q2, au Mercedes GLC ou encore au Jaguar F-Pace, mais avec un équipement de série bien plus riche.
Il faudra attendre l’été prochain pour le plus petit turbodiesel de 180 ch et avec une finition Business associée permettant d’accéder aussi à la transmission Q2, sur le train arrière uniquement. Le CO2 devrait logiquement passer sous les 120 g.